Rachid Nekkaz, le millionnaire franco-algérien candidat malheureux à l'élection présidentielle en France en 2007et écroué en mars 2012 pour corruption a annoncé sa candidature à l'élection présidentielle en Algérie en 2014. Rachid Nekkaz précise qu'il entend promouvoir trois idées principales lors de sa candidature aux élections présidentielles algériennes :la réouverture de la frontière algéro-marocaine, la lutte contre la corruption et offrir du travail aux jeunes chômeurs. Originaire d'un quartier populaire du Val-de-Marne, né de parents algériens installés en France, Rachid Nekkaz a suivi des études d'histoire et de philosophie à la Sorbonne. Il aurait fait fortune grâce à la "bulle internet ", puis se serait reconverti dans l'immobilier. Il décrit son épouse comme « une Américaine catholique », selon le Nouvel Observateur elle serait franco-canadienne.
Candidat malheureux à l'élection présidentielle en France en 2007 Le 14 mars 2006, il annonce sa candidature à l'élection présidentielle de 2007, malheureusement, il n'a pas obtenu les 500 parrainages nécessaires pour être candidat à l'élection présidentielle le 16 mars 2007. Rachid Nekkaz dénonce des pressions qu'auraient reçues et prétend qu'au cours du cambriolage de son siège de campagne seul l'ordinateur comportant les coordonnées des parrains aurait disparu. Il obtient finalement seulement 13 parrainages.
Ecroué pour corruption en mars 2012 Affilié depuis 2009 au PS, il annonce sa candidature à l'élection présidentielle française de 2012 en avril 2011 lors d'un "happening" au Fouquet's visant à dénoncer la loi sur l'interdiction du port du voile. Soupçonné d'avoir tenté d'acheter au moins un parrainage pour l'élection présidentielle, il est mis en examen pour corruption active et est écroué en mars 2012. Il est le fondateur avec Jean-Bruno Roumegoux et Leila Hireche du « Club des élus Allez France », une association défendant depuis 2002 l'inscription automatique de tous les citoyens sur les listes électorales. En 2010, Rachid Nekkaz fonde l'association « Touche pas à ma constitution », qui paierait à la place des femmes portant un niqab les amendes qu'elles recevraient du fait de l'interdiction de porter ce voile. Le 24 décembre 2010, il offre à la communauté rom en guise de cadeau de Noël un terrain de 16 hectares en Auvergne (région d'origine de Brice Hortefeux ), pour un euro annuel, en partenariat avec l'association la Voix des Roms.