Qui se cache derrière la chaine française Canal + et pourquoi cette vidéo, qui touche à la personne du président Bouteflika, est mise en ligne après une visite officielle entrant dans le cadre d'un rapprochement entre les deux pays ? Si ce n'est que pour empoisonner les relations .Un tel œuvre n'est évidemment que le labeur des militants de l'Algérie française (les pieds noirs et les harkis). Preuve à l'appui : C'est un aspect méconnu de la vie politique d'André Rousselet, le fondateur de Canal+ et le premier « PDG » de cette chaine. Cet homme ainsi que le ministre de la justice sont responsables de l'exécution de 45 condamnés Algériens, tous guillotinés, entre 1954 et 1957. Le père de Canal+ n'est autre que le chef de cabinet de François Mitterrand Pendant les trois premières années de la guerre d'Algérie 1954-1957, François Mitterrand, alors , ministre de l'Intérieur puis ministre de la Justice assisté par son chef de cabinet à l'époque qui n'est autre que André Rousselet, le père de Canal +, l'ami de Mitterrand ont assumé et cautionné une répression sanglante contre les militants du FLN et les moudjahidine durant la guerre d'Algérie. Un effrayant non-dit entoure cette chaine de Canal+ fondé et dirigé par le chef du cabinet de François Mitterrand durant une décennie de 1983 jusqu'au 1994.Cette chaine qui s'implique aujourd'hui dans les affaires internes de l'Algérie indépendante, n'a jamais ouvert la bouche sur les massacres commis par les tortionnaires du ministre de la justice français et de son bras droit, André Rousselet, le maniaque de Canal+. Durant trois longues années, François Mitterrand, ministre de la Justice, refusera la grâce, dans plus de 80 % des cas, aux militants du FLN condamnés à mort. 45 seront guillotinés. André Rousselet est encore le financier des rapatriés d'Algérie. Il était le propriétaire de la société taxi G7, une entreprise financée par les familles de rapatriés d'Algérie. Ces harkis qui se cachent derrière Canal + Rattrapée par son passé haineux, cette chaine même, aujourd'hui, sous la direction d'un jeune patron , le nouveau PDG Bertrand Méheut, Canal+ se retire du marché algérien et annonce en 2009, l'arrêt de la commercialisation de ses abonnements en Algérie .Ainsi cette chaine qui déverse du venin médiatique sur l'Algérie tous en confiant ce sale boulot aux journalistes franco-marocains et les fils des rapatriés d'Algérie, tels que , M. Achour, B. Karim, K. Boutayeb et K. Merad, confirme son attachement aux harkis et pieds noirs . Il faut se méfier de l'eau qui dort La vidéo diffamatoire , savamment diffusée par la chaine Canal+, sur la rencontre entre le Président Bouteflika et le premier ministre français est commentée ‘'antagoniquement'' par un journaliste franco-marocain , voulant contester les déclarations du porte parole de l'Elysée et alimenter les spéculations sur l'évolution de l'état de santé du président Bouteflika . Alors que les fauteurs de troubles de Canal+, croyaient scandaliser le rythme ordinaire des activités protocolaires du Président Bouteflika par la mise en ligne de leur fameuse vidéo, le président de la République, reçoit le même jour c.à.d. , le jeudi, le ministre des Affaires étrangères du Qatar, Khaled Bin Mohamed al-Attia, qui était en visite officielle en Algérie . En effet, depuis plusieurs mois le président de la République a multiplié ses activités protocolaires, durant cette période. Il a reçu, récemment, le leader islamiste tunisien, Rached Ghannouchi, et celui de l'opposition Nidaa Tunes, Beji Essebsi ainsi que l'émissaire de l'ONU Lakhdar El Ibrahimi, le maire de Paris, Bertrand Delanoë et la semaine dernière, le Premier ministre français. La vérité de la bouche du premier ministre français En prenant en considération les déclarations du Premier ministre français faites juste après sa rencontre avec Bouteflika précisant que le président Bouteflika est en bonne santé et que les entretiens ont duré 45 minutes, la réponse à Canal+ et son hypothèse, n'a aucun sens! Parce que, le Premier ministre français a affirmé, mardi, lors d'une visite à Oran, dans l'ouest du pays, que le président algérien, rencontré la veille, était «très courageux après sa maladie» et «suivait bien» les dossiers. «L'entretien de 45 minutes s'est très bien passé, c'est quelqu'un de très courageux après sa maladie», a expliqué Jean-Marc Ayrault aux journalistes. «Il est très bien informé sur les dossiers. J'ai été très surpris qu'il suive à ce point la situation», a-t-il ajouté. Ayrault a en outre affirmé : «Il (M. Bouteflika) m'a dit notamment : «Soyez fiers de ce que vous avez fait au Mali, dites-le au président (François) Hollande».