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SANTE PUBLIQUE : L'erreur médicale est-elle condamnable… ?
Publié dans Réflexion le 04 - 11 - 2009

A en juger par la situation qui prévaut, et à ce jour, aucun personnel médical ou para médical n'a été trop inquiété où été sévèrement réprimande pour une erreur commise lors de l'exercice de ses fonctions ; alors, ces erreurs médicales se sont multipliées à la vitesse de la lumière et demeurent souvent fatales et sont à l'origine de décès survenus en milieu hospitalier, et surtout au sein de ces maternités autant de femmes succombent juste après l'accouchement, faute d'une meilleure prise en charge, et d'un secours médical a temps avec le bon diagnostic…. !
Malheureusement les négligences de malades livrés a leur sort, les fautes médicales relatives a l'établissement du bon diagnostic, les incompétences pures et simples constatées en flagrant délit, lors de l'accomplissement d'une moindre tache paramédicale ou médicale, les prises en charges trop insuffisantes de certains malades nécessitant des soins plus qu'attentifs, sont devenus le lot quotidien de ces malades, dont les parents ne cessent de se plaindre en silence, et sont contraints de se taire, au risque de voir leur malade se faire expulser du milieu hospitalier à la moindre réclamation. De nombreux décès sont enregistrés au cors de ces derniers années, surtout auprès des maternités urbaines, mais, malheureusement, aucune statistique officielle sur ces cas de décès résultant des erreurs médicales ou autres, n'est disponible auprès des administrations sanitaires, tous les décès sont inscrits sous l'appellation « de morts naturelles », constatées légalement par les médecin assurant les gardes médicales. Mais le comble atteint son paroxysme au cours de la survenue dramatique de la mort des parturientes sur les tables d'opérations suite aux accouchements par césarienne, où souvent les 02 personnes décèdent, la mère par complications hémorragiques, et le nouveau-né, par étouffement, après avoir trop attendu, d'être extrait de la matrice de sa mère, ces cas là, sont devenus trop fréquents et ne peuvent plus « se cacher », des fois, la femme enceinte succombe à ses douleurs en pleine évacuation vers les urgences, après de vaines tentatives de son accouchement en maternité. Quant aux plaintes déposées auprès des instances médicales et judiciaires, elles révèlent de l'importance de l'ampleur du phénomène qui tire la sonnette d'alarme sur une mortalité fort inquiétante en milieu hospitalier, provoquée par les erreurs fatales, avec une indifférence total, commises par un personnel qui ne soucie guère des drames qu'il cause au sein de la famille des malades. Selon le président de l'ordre des médecins et un autre président d'une association nationale de malades, quelques 1200 plaintes ont été enregistrées au niveau national, au cours de l'année 2008, émanant des familles de patients, contre des médecins, dont les malades victimes sont décédés suite à des erreurs médicales ou des négligences aberrantes d'établissement de diagnostic avec la prescription de médicaments contre indiques pour la maladie, ou sont toujours en vie, mais avec de lourds handicaps (séquelles graves ayant causé des paralysies d'un membre ou d'un organe),mais malheureusement, ces dernières doléances n'ont pas encore abouti aux résultats attendus (endommagement des familles, prise de sévères mesures punitives à l'encontre du médecin fautif). Aujourd'hui, il est temps, que les autorités abordent le sujet, d'une façon sérieuse et prennent des mesures strictes à l'encontre de ce personnel médical et paramédical, plus que défaillant et « criminel ».

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