L'ingérence de la France, et sa complicité dans le terrorisme dit « Islamiste » est devenue le cheval de bataille du pays dit des droits de l'homme. L'Algérie n'est pas la Somalie, ni le Darfour. Les hauts responsables au niveau de l'Elysée ou le palais de Matignon le savent. Alors ils tentent de s'ingérer, par le biais du Ministre des Affaires Etrangère M.Bernard Kouchner qui fait des déclarations inadmissibles qu'il faut savoir bien les analyser, pour connaître cette ingérence qui ne date pas d'hier, mais depuis l'indépendance arrachée par une révolution pleine de martyrs, d'invalides, de disparus et d'assassinés au sang froid. La politique de la France minée par le lobby sioniste, qui œuvre pour des intérêts inavouables, trouvant même à l'intérieur du pays des « clients » frappés par la nostalgie d'une époque révolue.L'Algérie grâce à ses enfants patriotes a su garder intacte sa réputation sur le plan national que sur le plan international, ce qui lui permet malgré la manipulation des traîtres de conter la main sale des troubles. Alors même si le terrorisme sévit encore dans quelques régions du pays, il n'en demeure pas moins que le vrai ennemi a découvert son visage. Depuis octobre 1988, l(Algérien a découvert les manipulations déclanchées au delà de la méditerranée. « Le Plan Bleu » les larmes de crocodile de certains ONG, les cris de détresse d'amnistie internationale entre outre et qui avaient assimilés parfois le masque de l'ONU. La déclaration de Bernard Kouchner et une atteinte à la souveraineté de l'Algérie La déclaration du ministre des Affaires étrangère, (selon lui, les relations entre les deux pays seraient impeccables après le départ de la génération de l'indépendance) est une ingérence flagrante dans les affaires intérieur de l'Algérie. Ceci confirme encore une fois, que les complots contre l'Algérie n'avaient jamais cessés depuis l'indépendance. Que le lecteur Algérien pend acte.Au début des années quatre vingt dix, au moment de la fièvre des création de parti politique en Algérie.(15 membres suffisaient pour qu'un parti est mis en route) L'Association ‘'Pieds-noirs pour l'Algérie'' qui dénonce de la sorte et le FLN et les ‘'pseudos-fils de Chouhada'' est-elle crédible aux yeux du lecteur ordinaire ? Elle a bel et bien organisé et dirigé en Oranie plusieurs visites semi-officielles de délégations pieds-noirs et ces derniers sont venus par centaines.Dans ses tracts, elle s'en prend à la fois aux autorités françaises et aux anciens dirigeants nationalistes algériens. Dans un ‘'communiqué'' transmis à la presse algérienne, cette association précise. ‘'Oui, messieurs les Français, depuis bientôt dix ans, des groupes de jeunes pieds-noirs, dynamiques et enthousiasmes renouent avec leur patrie et proposent des projets divers, socio- économiques, culturels, géopolitiques..'' Tout cela est bien perçu en Algérie, surtout à Oran, pour diverses raisons socio-historiques «''andalouses'', ‘'Et nous continuerons nos efforts, malgré une actualité difficile en A1lgérie et surtout malgré les agissements de nos vieux ennemis politiques français. Messieurs les Français, si vous persistez à rechercher le conflit direct avec nous, jeunes pieds-noirs et jeunes fils de harkis, l'association ‘'pieds-noirs pour l'Algérie'' modifiera ses méthodes et saura répondre aux provocations par TOUS LES MOYENS, nous disons bien, par tous les moyens !! A bon entendeur…'' La menace et l'ingérence datent depuis l'indépendance, tous les anciens du FLN déstabilisés Cette menace a été communiquée à la presse un 7 juin 1991, juste avant les élections. Si ce tract avait été exploité par la presse, que ce soit en France ou en Algérie, le lecteur ordinaire pouvait attribuer à cette association quelque potentielle d'action subversive. Par contre, un lecteur averti aurait rapidement soupçonné une fumeuse expérience sur l'opinioin publique algérienne, destinée à recenser les diverses réactions au procédé.La France comme d'autres grandes puissances occidentales, a été ébranlée par le terrorisme depuis 1981, date d'arrivée des socialistes au pouvoir : voitures piégées, personnalités abattues, bombes dans les édifices publics, incendies criminels, sabotages etc. En 1981, sept attentats ont été perpétrais en France, dont six dans la capitale. L'année suivante, douze opérations terroristes ont été enregistrées dans le même pays. Il y en eut encore sept attentats en 1983, trois autres en 1984, cinq en 1985, quatorze en 1986, pour ne citer que les opérations les plus sanglantes, celles-ci ayant été commises dans des endroits publics : restaurants,cinémas, voie publique, aéroports etc.Dans la plupart des cas, la presse française a incriminé des organisations terroristes basées au Proche-Orient et dont les revendications étaient liées au problème Palestinien ou Libanais. Cependant, un grand nombre d'attentats terroristes ont été perpétrais et revendiqués par des organisations françaises.Au Maroc, avant l'indépendance de celui-ci, les services spéciaux français de l'époque avaient crée une prétendue organisation secrète, dite ‘'La main rouge'' qui a terrorisé par des assassinats –les leaders nationalistes marocains'' à leur tête M. Alla El Fassi. ‘'La main rouge'' se targuait alors de défendre… la cause marocaine. En Algérie, des milliers de personnes ont été tuées par de pseudo-commandos du ‘'Mouvement Nationaliste Algérien'', le M.N.A. de Messali Hadj, constitués d'éléments sélectionnés et préparés par les services spéciaux français qui utilisaient ainsi de la main-d'œuvre algérienne pour tuer des Algériens sous le couvert d'une lutte entre deux mouvements nationalistes, c'est-à- dire le M.N.A. d'un côté et l'ALN de l'autre.Le premier mouvement avait bel et bien manifesté une opposition au recours à l(action armée du 1er Novembre 1954, il a fournit aux services spéciaux français une excellente couverture pour lancer dans la bataille des unités spéciales chargées de ‘'faire le sale boulot'' et d'attribuer celui-ci à des groupuscules incontrôlés. De faux maquis ALN, ont été crées ici et là en Algérie pour leurrer les populations algériennes des campagnes, les terroriser, les empêcher d'approvisionner ou de gonfler les effectifs de l'armé de libération algérienne. Après l'indépendance, c'est le même procédé qui sévira, mais cette fois-ci, s'est le groupe des traîtres infiltré dans l'ALN, devenus des influents, qui avaient reçu les instructions de déstabiliser l'Algérie. Cependant l'œil vaillant de nos services ne s'est pas fermé, à plusieurs reprises, le filet ramenait de la pêche. (A suivre)