Moul Firma attrapé par une maladie de la pauvreté, voyant que des petits ‘'OUALOU'' sont devenus, en quelques mois, des milliardaires après avoir gagné la tombola du foncier, alors, il décide de s'occuper de sa ferme après avoir constaté qu'aucun responsable n'a levé le petit doigt pour stopper la saignée foncière , tout en sommant son fils de lui remplacer dans sa mission d'investigation. Quelques heures après, le téléphone de Moul Firma sonne, et une voix douce à l'appareil lui confie, que une entreprise étatique vient de recruter une deuxième ‘'Dalila'', une algéroise bien épaulée, qui quelques semaines après son installation à la tête de la direction des finances de cette unité, elle limoge un pauvre employé pour une futilité. La correspondante qui parlait d'une voix craintive, retient son souffle, quelques instants, pour informer Moul Firma, que madame Dalila a également recruté son frère et son mari : la pauvre madame Dalila, dit Moul Firma :'' il fallait liquider quelques employés pour vider des postes pour les membres de sa famille.'' Avant de raccrocher, Moul Firma appelle son fils et lui dit, oublie ce que je t'ai dit : je ne démissionne pas, je vais rester et continuer, ‘'zkara ‘' même si je dois vendre ma ferme !