Selon le responsable du Centre intermédiaire de soins pour les toxicomanes (Cist) de Sétif, plus de 260 toxicomanes dont 4 filles ont suivi une cure. Le Cist de Sétif, qui travaille en étroite collaboration avec les cliniques implantées dans les cinq secteurs sanitaires de la wilaya, a pour mission la sauvegarde de la santé morale et physique des jeunes. “Même si le nombre de jeunes toxicomanes a triplé par rapport à ce qui a été enregistré auparavant, beaucoup de travail reste à réaliser. Nous ne les considérons pas comme des voyous, ce sont des malades et nous devons les assister”, nous a affirmé le chargé du programme de lutte contre la toxicomanie à la Direction de la santé et des réformes hospitalières de la wilaya de Sétif. Faouzi Senoussaoui, Source : Liberté