Après la révision de la Constitution, les chantiers de réformes administrative (numérisation des services publics) et économique (relance de la croissance et priorisation des projets d'investissement) s'avèrent plus chronophages que souhaités. Un (...)
Notre société, notre économie autant que notre champ politique sont d'inégal développement ; tantôt, l'un prend le pas sur les autres, tantôt, un second régresse traînant les autres avec lui ou décroche laissant les autres tourner en roue libre. Et (...)
La pandémie touche aujourd'hui tous les continents ; il y a peu d'espoir de voir surgir, dans les prochains mois, des thérapies pour la juguler. Les différents gouvernements tablent sur le civisme et la discipline des citoyens pour endiguer sa (...)
Le président Tebboune se lance, en suivant son idée de la «main tendue au Hirak», dans des consultations à propos de l'amendement de la Constitution. Jusqu'à ce jour l'on ne voit pas où tout cela débouchera et quand ça s'arrêtera. Aurons-nous à (...)
L'on avait pensé que Tebboune avait les mains et les pieds liés. Voilà qu'en moins d'un mois, il est seul face à son destin.
Un mois où il a lancé des signes forts pour imprimer sa marque - l'un des moindres est de ne pas convier les « élus » de (...)
Il y avait bien d'autres possibilités pour élire notre président de la République. Et même dans la voie adoptée par les dirigeants actuels, l'on pouvait asseoir la crédibilité du scrutin, quel que soit le taux de participation, avec une transparence (...)
Nous traversons une drôle de période. Alors que la presse internationale s'inquiète de l'évolution de la situation politique en Algérie, des commentateurs avisés pointent - sans préciser de quoi il s'agit exactement - des publications sur les (...)
Il est évident qu'à l'heure actuelle l'on ne peut trouver une issue à cette crise politique inédite où les oppositions (entre les pro et les anti) se sont cristallisées rendant impossible tout dialogue national.
Il est nécessaire - sans intervention (...)
Le phénomène des fugues dans notre société est le produit d'une véritable crise de la socialisation. Parce que cette dernière, en principe, est définie comme une sorte de dressage par lequel l'adolescent ou l'individu jeune est amené à intérioriser (...)
Le phénomène des fugues dans notre société est le produit d'une véritable crise de la socialisation. Parce que cette dernière, en principe, est définie comme une sorte de dressage par lequel l'adolescent ou l'individu jeune est amené à intérioriser (...)
Les citoyens algériens réagissent de la sorte parce qu'ils ne se sentent pas représentés légitimement à travers cette campagne animée par des «démagogues» ou «des entrepreneurs politiques». Aussi, ils constatent que la plupart des partis sont juste (...)
Les citoyens algériens réagissent de la sorte parce qu'ils ne se sentent pas représentés légitimement à travers cette campagne animée par des «démagogues» ou «des entrepreneurs politiques». Aussi, ils constatent que la plupart des partis sont juste (...)
A en croire l'avant-projet de la révision de la Constitution du 28/12/2015, entériné par le Conseil des ministres puis par le Conseil constitutionnel et expédié -comme une lettre à la poste- au Parlement (pour sa réunion du dimanche 07/02/2016), ni (...)
Alors que de nos jours nous attendons des signes forts du changement de cap de nos politiques économiques, monétaires et financières, autorisant nos institutions et notre édifice social à affronter le tsunami généré par l'affaissement régulier, (...)
Le professeur Hamid Temmar (chef de cabinet de Boutefli-ka - alors ministre de la Jeunesse et du Tourisme de septembre 1962 à avril 1963 - et, dès 2000, ministre de plusieurs départements) s'est penché sur la «crise et les réponses -du 2ème (...)
Si, en peu de mots, nous devions faire le bilan de la décennie Bouteflika, l'on pourra-dire qu'elle a suscité beaucoup d'espérances et n'a pas réussi à faire reculer le désespoir. Ce bilan mitigé n'est pas une vue de l'esprit sortie tout droit des (...)
Ils ont voté, et puis : après ? Cela changera-t-il ? Les Algériens sont, comme à leurs habitudes, extrêmement dubitatifs. Les résultats sortis des urnes du 29 novembre 2012 ont parlé pour eux.
Primo : En nous limitant seulement aux élections (...)
Une grande Khaima est dressée devant la maison de la culture Abiras Enaciri de Mascara. C'est le symbole de la semaine culturelle de la wilaya de Nâama dont la délégation est en train de créer une animation tout particulière dans la ville, tout (...)
Une dizaine de bus de 27 places viennent d'être octroyés aux communes respectives de Sedjerara, Tighennif, Sehaïlia, Boulenouar, Gharouss, Ghriss, Zahana, Oued Taria, Aïn Farah et Mascara, pour leur servir au transport scolaire.
La nouvelle qui est (...)
Le malade, soupçonné d'être atteint de la grippe A de souche H1N1 et hospitalisé la semaine passée, a bel et bien quitté l'Hôpital Meslem Tayeb de Mascara, depuis mercredi dernier, pour regagner sain et sauf son domicile.
Entre-temps, il a séjourné (...)
Le théâtre de Mascara, passé de théâtre municipal qu'il était depuis l'époque coloniale, au statut de théâtre régional par décret, a connu hier l'installation de son directeur Rachid Djororo, fonctionnaire du ministère de la culture. Le nouveau (...)
Au cours de sa tournée effectuée la semaine écoulée par le chef de l'Exécutif de la wilaya de Mascara, sur le territoire de la daïra de Hachem, peuplée de 36.000 habitants, plusieurs projets de soutien à la relance économique ont été passés en (...)
Le centre d'étude de développement international du mouvement économique et social (CEDIMES) dont la direction algérienne siège à l'Université Mustapha Stambouli de Mascara, depuis bientôt deux années, prône l'acquisition du savoir par (...)
Ouf ! C'est fini, enfin ! Cette campagne électorale que d'aucuns ne languiront pas ! Elle a été vraiment pénible. Quel conformisme ! Quelle pauvreté des programmes et des idées ! Nous sommes certes habitués à ne pas croire nos politiques. Car plus (...)
Les membres du G 20 disent qu'ils sont prêts à tout pour « rétablir la confiance ». Quitte à tenir en laisse la « main invisible » du marché, dont longtemps ils ont été les chantres et qu'aujourd'hui ils présentent comme un « monstre à discipliner (...)