Les conséquences de ce qui est communément appelé le «printemps arabe» sur les régimes autoritaires, qui prévalaient dans le monde arabe, prédisaient une explosion inévitable de la révolte populaire en Algérie.
Cette perspective est redoutée à la (...)
Cette perspective est redoutée à la fois par le pouvoir, compte tenu du niveau de rejet que lui réserve l'ensemble des couches sociales et aussi par l'opposition politique dans ses différentes composantes, en raison de leurs faiblesses structurelles (...)
Face à la permanence des régimes autoritaires refusant le changement et l'ouverture à l'autre, le sentiment de l'instabilité ne cesse de gagner le terrain de la légitimité et les Etats se trouvent contestés jusqu'au moindre de leur fondement.
Une (...)
La pression de la mondialisation et le développement des nouvelles technologies d'information et de communication ont contribué à donner aux liens sociaux privés une pertinence transnationale. L'ordre des réseaux semble en mesure d'affaiblir ainsi (...)
On reconnaît souvent aux sociétés démocratiques l'apport, entre autres, de la légitimité de la représentation et la reconnaissance du pluralisme dans l'amélioration de la qualité de la gouvernance économique.
Or, on observe en Kabylie, en général, (...)
Lors de la campagne de l'élection présidentielle 2000, la question de la réforme de l'Etat en Algérie fut déclarée comme une priorité. Cette importance accordée à la question de la réforme de l'Etat n'est pas anodine : elle était censée inscrire le (...)
La formation facteur de consolidation
La mise en œuvre d'un tel projet, qui est de s'assurer la pérennité de sa rentabilité, est conditionnée par la qualité des ressources humaines qui veillent à son fonctionnement. Car avec cette nouvelle (...)
La formation facteur de consolidation
La mise en œuvre d'un tel projet, qui est de s'assurer la pérennité de sa rentabilité, est conditionnée par la qualité des ressources humaines qui veillent à son fonctionnement. Car avec cette nouvelle économie (...)
Faut-il traiter son pays de fou pour être entendu ? C'est dire la difficulté de gouverner lorsque les responsables devenus incapables de regarder l'avenir à défaut de vouloir le réfléchir et le débattre avec l'effort de critique nécessaire.
« Il (...)
«Il est temps de faire des mécontents pour gouverner», disait Romano Prodi. Et il n'est pas le seul à le penser. D'autres l'ont fait, indépendamment de leur carrière d'homme d'Etat, et au détriment du sort électoral qu'ils réservaient à leurs partis (...)
Après plus de quarante ans d'indépendance, le constat semble amer aux yeux des Algériens : une politique de développement inefficace, résultant des méthodes d'action inappropriées, la prolifération de la violence comme moyen d'expression et comme (...)
Une évolution qui renforce la contestation urbaine dopée par la persistance des difficultés socioéconomiques, et qui consolide dans sa tendance lourde la culture paroissiale chez nos concitoyens.
Mais au-delà de cette situation critique soit-elle, (...)