Mai 1974. 7h30 du matin. Alger s'éveille. Une jeune femme active, Anissa, marchait à grandes enjambées pour ouvrir à 8h tapantes le salon de coiffure et de soins de beauté pour dames qu'elle gère.
Avec un visage poupin, qui piquait un fard à la (...)
L'odeur de cuisine nauséabonde et la faible intensité de l'éclairage public donnaient l'impression d'être perdu dans l'opacité d'une forêt. Une occasion inespérée pour rameuter tous les chats errants du voisinage.
C'est une rue devenue morne après (...)
(2e partie et fin)
Le sémillant Redouane était un jeune homme probe, respectueux et surtout bien bâti. Être en bonne santé était la condition sine qua non pour exercer le rude et éreintant métier de garçon de salle.
La vie était belle pour tout le (...)
Les esprits bienfaisants se penchèrent sur le berceau de Farouk avec une prédilection toute particulière. Ils lui dispensèrent un peu de magie dans le métier de tailleur couturier. Un art qu'il va perfectionner auprès d'un artiste de la (...)
Le plus récent stade d'évolution du football belcourtois est dû sans contexte à la création du CRB (Chabab Riadhi de Belcourt), à l'orée de l'indépendance, par des hommes intègres. Beaucoup parmi ces hommes dont quelques-uns apparaissent en évidence (...)
Si aujourd'hui, je trempe ma plume dans le fiel, c'est pour décrire la vacuité d'une existence ; l'état de déliquescence prononcé des quartiers algérois dont la commune de Belouizdad, anciennement Belcourt, fait partie intégrante.
A l'orée de (...)
Comme à pareil moment des étés caniculaires. Hier, après la prière du soir, je n'avais plus sommeil. J'ai ouvert la porte-fenêtre coulissante de mon balcon et me suis affalé pour me détendre sur mon fauteuil skaï vintage ; respirant la brise (...)