Si la circulation automobile est redevenue fluide au niveau de la rue Bab El Oued (après que l'artère fut libérée), ce n'est guère le cas au niveau de la rue Ahmed Bouzrina (ex-rue de La Lyre) dont la voie reste extrêmement engorgée par, notamment, les petits revendeurs qui ont pignon sur rue. A cela s'ajoutent les « ex-squatters » de Zoudj Ayoun venus grossir les rangs de la rue Bouzrina pour écouler leurs produits devant les essaims de ménages venus déambuler le long de la voie. C'est le même décor qui « orne » les rues du Pavé, Amar El Kama, Ali Amar (ex-rue Randon) et autres places et culs-de-sac devenus par la force de la loi de l'usage ce qu'on appelle dlalate où il faut jouer des coudes pour se frayer un passage.