Un concours gagné puis perdu Cela s'est passé à l'université Houari Boumediène, à Alger. Un jeune diplômé en sciences exactes a passé avec succès le concours de magistère, spécialité algèbre et théorie du nombre. La liste des candidats, qui ont réussi le concours, a été rendue publique dans la journée du 29 octobre et son nom y figurait ; mais voilà-t-il qu'au moment où il s'apprêtait à s'inscrire, il a appris, à son grand malheur, qu'il n'est pas (ou plus) admis. Et en dépit de son insistance auprès des responsables, la réponse a été négative, comme s'il s'agissait d'un mirage d'été. La lettre de recours adressée au recteur de l'université n'a abouti à rien. Aujourd'hui, il ne reste à ce jeune diplômé que d'oublier le jour où il a vu son nom sur la liste. En attendant l'année prochaine, on ne sait jamais, peut-être, qu' il y aura moins de… « postulants » ! L'hyppodrome du Caroubier revient à la SCHPM La nouvelle va certainement soulever une vague d'enthousiasme dans les chaumières équines aux quatre coins du pays : le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, a inscrit, par correspondance datée du 20 novembre, le wali d'Alger à l'effet de procéder à la « restitution » de l'hippodrome du Caroubier au bénéfice de la Société des courses hippiques et du Pari mutuel (SCHPM), organisateur historique et exclusif du turf en Algérie qui a géré ce champ de courses jusqu'aux années 1980 avant qu'il ne soit pris en concession par l'OPLA. Le retour du Caroubier à son activité originelle n'est qu'une sage décision obéissant à toutes les normes régissant l'activité hippique en Algérie. C'est comme qui dirait qu'une piscine doit revenir naturellement aux nageurs… Panique dans l'autorail Alger-Chlef Annoncé en grandes pompes, l'autorail Alger-Chlef aura laissé de très mauvais souvenirs aux voyageurs du dimanche 23 novembre. Le nouvel autorail, tout étincelant, quitte la gare d'Alger-Centre à 17h 10. Selon la SNTF, le voyage jusqu'à la capitale chélifienne doit durer un peu plus de 2 heures. Après avoir roulé quelques bornes, la « machine bleue » s'arrête à Baba Ali pour cause de panne. On invite les voyageurs à descendre et à remonter dans un autre autorail. Juste au départ, le feu s'est déclaré sous un wagon. On accourt avec les extincteurs, il y a de la fumée, les voyageurs paniquent, des enfants pleurent, les femmes sont apeurées. La nuit fait le reste. Tout le monde est « rangé » dans une salle d'attente, jusqu'à 19h30. Les nerfs sont à bout. Les portables rendent service pour ces aventuriers du jour. Encore une fois, on case tous les voyageurs dans un vieux train au prix de celui de l'autorail. A 22h 30 c'est l'arrivée à Chlef. Une question simple et logique : ces voyageurs seront-ils indemnisés pour tous ces désagréments ? Une punaise dans un mille-feuille Une famille habitant dans la commune de Khemis Miliana a eu la désagréable surprise de découvrir une punaise en métal dans un mille-feuilles. En effet, nous fera savoir un membre de cette famille, l'objet, qu'il garde précieusement, a été trouvé dans le gâteau acheté chez un pâtissier de la ville. Fort heureusement, la punaise n'a pas atterri dans l'estomac de l'un d'eux. Pour rappel, plusieurs cas d'intoxication liés à la consommation de pâtisserie ont été enregistrés à travers des communes de la wilaya de Aïn Defla, ces derniers mois.