Louisa Hanoune (à Sétif ) : « Le projet du code du travail est un désastre où le travail deviendra précaire (…) Est-ce que vous acceptez cette politique ? Est-ce que vous acceptez l'esclavagisme ? Nous disons que les jeunes refusent. » Ali Fawzi Rebaïne (à Tlemcen) : la crise du logement « s'installe toujours (à cause de) la mauvaise gestion et du favoritisme dans la distribution, il est étonnant que cette crise ne trouve d'issue que lors des campagnes électorales où se multiplient les cérémonies de distribution de logements, sachant que certaines habitations ont été distribuées plusieurs fois devant les médias ». Djahid Younsi (à la Casbah d'Alger) : « Le choix de ce lieu historique procède du respect voué à cet endroit béni où le sang a coulé pour l'Algérie indépendante. » Evoquant les jeunes, le candidat a souligné l'importance de dépoussiérer "cette grande révolution" de l'Algérie. Moussa Touati (à Souk Ahras) : Le candidat du FNA a appelé les jeunes à « participer massivement » au scrutin afin de « provoquer le changement ». M. Touati a souligné la nécessité pour les jeunes qui « sont l'avenir du pays », de s'impliquer « pleinement » dans ce scrutin pour en faire une « opportunité » de changement. Mohamed Saïd (au journal Le Temps d'Algérie) : « C'est un message que je veux transmettre aux Algériens en leur disant qu'il y a de l'espoir, qu'il ne faut pas se laisser porter par le défaitisme et que la situation actuelle, avec tous (ses) maux et tous (ses) problèmes, est une situation conjoncturelle qui pourra disparaître le jour où tout un chacun décidera de prendre ses responsabilités. » Abdelaziz Bouteflika (à Batna) : « Je suis porteur des mêmes idées et je ne suis pas venu à Batna pour présenter mon programme que vous connaissez depuis une dizaine d'années (…) J'ai promis la création de trois millions d'emplois et 1,5 million de logements en cinq ans, ce qui a été réalisé en dépassant même nos prévisions. »