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Oum El Bouaghi : Eclairage lacunaire
Publié dans El Watan le 31 - 08 - 2009

Nos villes sont-elles bien on mal éclairées ? Certes, certaines cités, à l'exemple du chef-lieu de wilaya d'Oum El Bouaghi, se sont investies pleinement pour assurer un éclairage public qui, non seulement illumine les alentours, mais permet de mettre en relief les infrastructures publiques.
De même, les particuliers se sont mis de la partie en décorant leurs devantures d'enseignes lumineuses aux couleurs chaudes et attrayantes. Malheureusement, il n'en est pas de même pour d'autres localités, telle Aïn Beïda où l'éclairage public est lacunaire. Les grands boulevards comme celui baptisé Ben Boulaïd, ou encore Kanouni Tayeb, disposent de peu de lampadaires, ce qui en rend les parages sombres et effrayants. Le plus désolant est que même les commerces ne disposent plus d'enseignes lumineuses sur leur fronton comme le veut l'usage. Qu'on se le rappelle, durant les années 1980, les commerçants étaient tenus d'installer des enseignes dans un double but : renseigner le passant sur l'activité de la boutique et illuminer la vitrine. Ce qui participait à créer une ambiance festive dans la ville. Mais les choses ont bien changé. Les boutiques ferment dès le crépuscule et les rues, enveloppées de noir, se laissent absorber par le silence. Qu'en est-il alors des cités éloignées où l'éclairage public reste malgré tout insuffisant ?

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