Ils sont des milliers à souffrir de l'indifférence et de la solitude. On ne parle d'eux qu'à l'occasion de la « Journée du Handicapé ». Ce 3 décembre, rien n'a été fait concrètement, hormis quelques initiatives timides prises par une ou deux associations dont le champ d'action est pourtant limité. A l'exemple de l'association « Afak » qui exhorte les institutions concernées pour donner à la personne handicapée un rôle à jouer dans la vie sociale et économique. L'objectif est de réduire quelque peu la détresse de cette frange de la société. Ce qui, malheureusement, est loin d'être le cas aujourd'hui.