Décidément les feux tricolores ne réussissent pas à la cité des Haractas, si on en juge par les pannes répétitives dont ils font l'objet. Contrairement à ceux du chef-lieu de wilaya qui sont tout le temps opérationnels, ceux de Aïn Beïda ne clignotent qu'occasionnellement. Quant à la circulation automobile dans le centre-ville, mieux vaut ne pas en parler. Elle est tout simplement infernale. Elle se fait à la va-comme-je-te-pousse. Un véritable capharnaüm dont il faut s'extirper à grand renfort de klaxons et de vociférations. Par ailleurs, un citoyen nous a fait part de son désappointement quant à l'absence de panneaux de signalisation comme ceux interdisant le stationnement ou indiquant la proximité d'une école ou d'un hôpital. Pour les passages piétons, il y a bien longtemps qu'ils ne font plus partie du décor.