Organisée par l'agence de communication Expoline, cette nouvelle édition se tiendra du 7 au 10 mars 2018. L'organisateur annonce près d'une centaine d'exposants qui sont attendus. Son objectif est d'instaurer un espace de rencontres «permettant aux entreprises algériennes et étrangères d'échanger leurs expériences et de développer des relations d'affaires mutuellement bénéfiques», rapportent les organisateurs via un communiqué. Par ailleurs, le SIAG sera marqué, cette année, par une exposition réservée à la logistique et s'accompagnera «d'un programme de conférences traitant de thèmes liés à la sécurité alimentaire, la logistique, le packaging et aux potentialités du secteur agroalimentaire». Ce salon SIAG 2018 est une porte ouverte sur le continent africain qui favorise le développement des industries agroalimentaires en Algérie et destinées à l'exportation. Il regroupe tous les acteurs de la filière pour se rencontrer, partager et échanger leurs expériences. Le SIAG a pour objectif de contribuer à une meilleure connaissance du potentiel du secteur industriel agroalimentaire national. Depuis sa première édition, le SIAG s'est positionné comme l'événement phare en Algérie pour le développement d'affaires dans un secteur en plein essor. Ce salon continue d'être le trait d'union entre les différents intervenants professionnels de la chaîne agroalimentaire. Cette manifestation met en exergue les produits locaux et constitue une vitrine exhaustive de produits et services pour les professionnels de l'agroalimentaire et les consommateurs finaux. C'est une plateforme de communication et de mise en relation d'affaires. C'est ce qu'affirme l'agence organisatrice. Au menu, figurent un programme de conférences et des débats sur des thèmes d'actualité sous l'animation d'experts nationaux et internationaux confirmés. L'an dernier, plus de 350 exposants, dans toutes les filières agroalimentaires, ont pris part à cette manifestation afin de promouvoir ce secteur stratégique, particulièrement en cette période marquée par la chute des cours du prix des hydrocarbures et par cette volonté des pouvoirs publics d'encourager la production nationale et de limiter la facture des importations.