A Aïn Beïda, c'est devenu un rituel à chaque fois que de grosses averses pointent du nez. Les canalisations sont tout de suite obstruées et les locataires de la cité sont désemparés devant cet état de fait. Et puis, ils sont démunis de tout moyen leur permettant de désengorger les égouts qui, en rejetant leur trop-plein, inondent tout le voisinage. Les citoyens se sont plaints, à maintes reprises, à qui de droit, mais leur problème est toujours en suspens. Par ailleurs, depuis belle lurette, les habitants de la cité des 600 logements, située à proximité du troisième arrondissement, attendent encore les traveaux d'assainissement et ceux du goudronnage des chaussées.