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Recherche de salles des fêtes : Le calvaire des familles continue
Publié dans El Watan le 19 - 07 - 2010

Avoir recours aux services d'un gérant de salle des fêtes est aujourd'hui une des étapes les plus importantes dans la préparation de la cérémonie de mariage.
Un procédé qui s'impose avec les nouveaux modes de consommation : les familles sont de plus en plus nombreuses à bouder les mariages fêtés de manière traditionnelle. Le recours aux salles des fêtes est dicté par le manque d'espace chez soi, ou tout simplement pour le côté pratique et organisé qu'offrent ces établissements. C'est tout de même un calvaire pour les familles qui se mettent à la recherche de cette salle, plusieurs mois avant la fête. Un casse-tête pour Malika qui essaye d'en trouver une, « pas trop loin du domicile familial et surtout pas trop chère. Mais c'est peine presque perdue, à moins d'attendre la fin de l'été et de programmer le mariage pour l'hiver », nous dira-t-elle. La chasse à la salle commence dès l'annonce des deux familles de leur intention de s'unir. La date du mariage dépend en effet de celle de la disponibilité des salles.
La location d'une salle bien située, et surtout bien aménagée pour recevoir les invités et abriter la cérémonie du mariage coûte entre 50 000 et 200 000 DA selon la situation géographique et la superficie des locaux. « Je ne fais pas trop attention à l'aspect externe de la salle. L'essentiel est que mes invités soient à l'aise ; le plus important pour moi, c'est que je ne me ruine pas », commente une mère de famille ayant opté pour une salle non loin de l'hôpital Zemirli. La salle, bien que très bien décorée à l'intérieur, souffre de certaines lacunes concernant la chaussée. Mais c'est sans importance pour les invités qui ont apprécié les gâteaux servis, et surtout le défilé de la jolie mariée. Dans ce genre de salles, considérées à loyer modéré, allant jusqu'à 70 000 DA, c'est à la famille de s'occuper des invités. La salle bien qu'offrant des commodités, est située dans des zones plutôt isolées loin du centre-ville. C'est n'est pas le cas pour celles situées dans les grands centres urbains à l'exemple de cette salle située à Aïn Benian, dont la location est à 150 000 DA, pour une capacité d'une centaine de personnes.
Dans cette salle, la famille cliente n' a qu' à fournir, la veille, la matière première (viande, fruits, légumes, gâteaux) et tous les invités ne seront que gâtés et très bien servis par les élégantes serveuses qui veillent au moindre détail. Les salles « publiques », l'alternative ? Les salles communales et celles relevant des maisons de jeunes ou d'auberges constituent également une solution pour les familles. « C'est loin d'être luxueux, mais c'est assez acceptable pour recevoir des invités », selon une cliente ayant opté pour la salle de l'APC de Bologhine. La salle appartenant au syndicat des travailleurs des chemins de fer, située rue Hassiba Ben Bouali, est également prisée pour sa situation stratégique. Des familles sollicitent les salles appartenant au Croissant-Rouge algérien ou encore au Cercle des Finances. « C'est beaucoup moins cher qu'ailleurs, c'est spacieux et c'est très bien situé », commente une femme rencontrée à la sortie de la salle du CRA, rue de Mulhouse. Pour les mieux nantis, la salle de la Mutuelle des travailleurs des matériaux de construction et du bâtiment de Zéralda est un autre choix.


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