Bureaucratie à la poste de Blida Au niveau de la Grande-Poste de Blida, le service public y est souvent mal assuré. Les différents clients d'Algérie Poste ne savent plus à quel saint se vouer pour avoir un service digne de ce nom, un droit qui leur revient pourtant. L'anarchie trouve son compte surtout au niveau du guichet 14, affecté notamment au retrait des lettres recommandées, l'envoi ou la récupération des colis postaux et la demande ou le retrait des carnets de chèques. Le manque de coordination, et parfois même des disputes entre collègues, peuvent être facilement remarqués par les clients de cette entreprise lorsqu'ils font la queue pour bénéficier d'un quelconque service. Hier, c'est un colis qui était destiné pour la France et qui a été retourné vers le service en question qui a provoqué des « altercations verbales » entre employés. Le manque de coordination a fait que ce colis a pris le chemin de Annaba au lieu de l'Hexagone. Le même guichet, opérationnel officiellement durant toute la journée, n'ouvre finalement que durant les matinées. Les citoyens qui se dirigent vers ce service, les après-midi, se retrouvent alors surpris par la fermeture du guichet sous prétexte que l'employée qui y travaille à partir de midi, est en congé de maternité ! Les pharmacies publiques restent la propriété de l'Etat Pour faire taire la rumeur faisant état d'une éventuelle cession des pharmacies publiques aux privés, le ministre de la Santé a affirmé mardi à Oran que les pharmacies publiques resteront la propriété de l'Etat. Djamel Ould Abbès a déclaré que 284 unités pharmaceutiques réparties à travers l'ensemble du territoire national restent la propriété de l'Etat. Suite aux explications sur la situation générale du secteur fournies par le responsable de la santé de la wilaya, M.Ould Abbès a souligné que l'Entreprise nationale de distribution du médicament (ENDIMED) d'Oran restera une propriété publique. 20 000 citoyens menacés par une ligne électrique Selon des statistiques démographiques, près de 20 000 personnes sont recensées dans les quartiers des mounadhiline, d'Alkhadra et les 75 logements se trouvant à Hassi Bahbah à 50km de Djelfa. Vivre dans ces quartiers n'est pas sans danger à cause du risque causé par la ligne électrique haute tension qui traverse de part en part ces trois portions de terrain. Ainsi, la vie de 20 000 citoyens ne tient qu'à un fil ! Depuis le temps que la population, exposée à tout moment au péril d'une catastrophe à grande échelle, exprime ses graves préoccupations, l'on ne fait que dresser constat sur constat sans jamais entreprendre la moindre initiative louable d'écarter définitivement ce danger par la délocalisation de cette ligne électrique et permettre aux familles de se réconcilier enfin avec la vie en toute quiétude ! Les nombreuses requêtes adressées aux élus locaux, n'ont fait que suivre la voie administrative pour atterrir sur les bureaux de la Sonelgaz. Un test de l'haleine pour détecter le cancer Des chercheurs britanniques ont révélé q'un test de l'haleine pourrait permettre de détecter un cancer du poumon, du sein, des intestins ou de la prostate. Selon cette étude, des essais ont été menés auprès de 177 volontaires, atteints de différents cancers ou non, et qui ont montré qu'un test de l'haleine pouvait réagir à des composants chimiques qu'émettent les cellules cancéreuses et dire, quels que soient l'âge et le sexe des patients, de quel type de cancer il s'agit. Les essais publiés mercredi confirment la détection possible de cancers en l'élargissant aux cancers du sein, des intestins et de la prostate.