Saisie de 68 036 unités de produits pyrotechniques à Souk Ahras Les éléments du 7e arrondissement de la sûreté urbaine de Souk Ahras ont récemment procédé à la saisie de 68 036 unités de produits pyrotechniques destinées au marché local, a-t-on appris, hier, auprès de la cellule de communication de la sûreté de wilaya. Dans son communiqué, cette dernière a fait état d'un renforcement du dispositif de prévention contre la vente de ces articles dangereux, notamment pour les enfants. Deux personnes impliquées dans cette affaire ont été présentées par-devant le parquet de Souk Ahras pour contrebande et vente illégale de produits prohibés. Un ex-postier retrouvé sans vie au cœur de Tiaret Ahmed Halimi, un ex-postier de 57 ans, que ses voisins, amis et collègues décrivent sur les réseaux sociaux comme «un homme pacifique, sans problèmes et aux valeurs morales irréprochables» a été retrouvé mercredi 14 octobre sans vie par des policiers et une unité de la Protection civile alertés par une parente pour être évacué à l'intérieur de son appartement vers le service de médecine légale de l'hôpital Youssef Damerdji de Tiaret dans un «état squelettique». C'est le médecin légiste qui confirmera les soupçons pour dire que «ce décès remonte à plu-sieurs mois», en tout cas plus de six mois après que personne parmi son entourage ou sa famille n'ait eu de ses nouvelles. Au-delà du décès et de la compassion qu'a suscité une telle fin, plutôt dramatique, il est à se demander comment on en est arrivé à ces situations regrettables dans une société censée être celle de l'entraide et du vivre-ensemble, tout en sachant que le défunt vivait seul dans un appartement situé au cœur de la ville de Tiaret dans un quartier des plus huppés de la ville, Boulevard Benbadis (ex-Clemenceau). Offrande à un sanctuaire controversé au Japon Le nouveau Premier ministre japonais, Yoshihide Suga, a envoyé hier une offrande rituelle au sanctuaire shinto de Yasukuni à Tokyo, un lieu controversé car symbole pour Pékin et Séoul du violent militarisme japonais jusqu'en 1945. M. Suga a envoyé en son nom l'offrande d'un arbre «masakaki» à l'occasion du début du festival d'automne du sanctuaire, selon une porte-parole du lieu. Il imite ainsi son prédécesseur nationaliste Shinzo Abe, qui a démissionné mi-septembre pour des raisons de santé, et dont M. Suga était jusque-là le fidèle bras droit. M. Abe s'était rendu en personne au sanctuaire en 2013 alors qu'il était Premier ministre en exercice. Sa visite avait déclenché un tollé à Pékin et à Séoul, et avait été également critiquée par Washington. M. Abe s'était par la suite contenté d'envoyer régulièrement des offrandes à Yasukuni. Mais le mois dernier, quelques jours à peine après avoir quitté le pouvoir, il s'y est de nouveau rendu lui-même. Situé au cœur de la capitale japonaise, Yasukuni honore la mémoire de quelque 2,5 millions de soldats morts au cours des guerres menées par le Japon depuis la fin du XIXe siècle. Mais le sanctuaire honore aussi le souvenir d'officiers supérieurs et de responsables politiques japonais condamnés pour crimes de guerre par les alliés après la Seconde Guerre mondiale. Un youtubeur arrêté après s'être filmé au volant d'une voiture à 233 km/h en Espagne La police espagnole a arrêté un youtubeur qui s'était filmé au volant d'une voiture prêtée par un follower à 233 km/h sur une route de service de Madrid limitée à 80 km/h, a-t-elle annoncé samedi. Dénoncé par «un citoyen», l'homme a été arrêté, explique la police dans un communiqué de presse, alors qu'il conduisait un «véhicule haut de gamme», sur une route de service de la M-45, la voie rapide faisant le tour de la capitale, dans le sens de Valence, indique la police. Ce youtubeur, spécialisé dans l'automobile, dont l'identité n'a pas été révélée par la police, compte plus de 2 millions de followers sur sa chaîne où il publie des vidéos des essais de voitures qu'il fait, détaille les avantages et les inconvénients des véhicules ou encore montre les réparations qu'il peut réaliser sur les engins. Sa chaîne enregistre 445 millions de vues, dont 1,3 million pour cette seule vidéo, quatre jours après sa publication, ajoute encore le communiqué. Le propriétaire de la voiture, un follower qui avait accepté de lui prêter son véhicule, a expliqué à la police que le youtubeur ne l'avait pas averti qu'il comptait tester sa vitesse maximale sur la voie publique. Advertisements