L'opération de réhabilitation du vieux bâti d'Alger, lancés dans le cadre de la revalorisation du vieux tissu urbain de la capitale, cumule beaucoup de retard. A en croire une source sûre de la wilaya d'Alger, «les retards cumulés sur plusieurs immeubles des vieux quartiers de la capitale ne sont plus tolérés». La Régie foncière de la ville d'Alger (RFVA) en est instruite afin de mettre au pas les entreprises réalisatrices pour reprendre ces chantiers, en particulier sur les grandes artères de Belouizded, Kouba, Hussein Dey, El Harrach et Bab El Oued, et ce, dans les meilleurs délais. Si la première phase de l'opération de rénovation a presque atteint les 100%, la seconde phase, quant à elle, lancée depuis deux ans, connaît un rythme ralenti. De vieux faubourgs de la capitale, en particulier les grands axes, sont toujours otages de ces chantiers. A Belouizdad, bien que plusieurs immeubles aient connu une réfection totale due aux bonnes prestations des différentes entreprises de réalisation, d'autres fractions de la commune pâtissent grandement du phénomène de la «nonchalance» de certains gérants d'entreprise. *Retrouvez l'intégralité de nos articles sur la version papier Advertisements