Après que la wilaya eut débarrassé les rues, ruelles et venelles des gravats amoncelés depuis des dizaines d'années dans l'ancienne médina, les habitants semblent avoir plus d'espace. Mais certains entrepreneurs privés, ayant la charge de réhabiliter certaines bâtisses, n'ont cure des monticules de décombres qu'ils laissent traîner aux abords des demeures. C'est le cas des riverains de la rue Kheïreddine Zenouda (dite Zanqat Bouaâqacha) qui se plaignent vainement auprès de l'APC des tonnes de déblais entassés en monticules devant leurs maisons, obstruant par là la voie et générant, à chaque opération, un nuage de poussière qui n'est pas sans incommoder les citoyens, les asthmatiques notamment.