Plantés il y a quelques années, les palmiers qui longent l'ex-rampe Magenta ou encore ceux qui embellissent l'allée de la rue Ali Berezzouane à Bab El Oued meurent à petit feu, car à peine si quelques individus de cette famille des palmacées résistent à l'usure du temps. Aussi, si certains axes routiers de la capitale sont enjolivés par des arbres d'ornementation, d'autres, en revanche, attendent d'être ombragés. Enfin, il y a lieu de relever que certaines opérations de boisement ont été effectuées de manière expéditive, voire sur des réseaux d'assainissement comme c'est le cas à l'avenue commandant Abderrahmane Mira où les jeunes palmiers « refusent » de pousser .