Il est un lieu commun de dire que le piètre état de certaines routes de la capitale contribue à endommager les véhicules. En effet, certaines voies de communication ou dessertes sont difficilement carrossables tant elles sont truffées de trous, crevasses et autres excavations, à cause de l'affaissement de la chaussée mal remblayée et médiocrement bitumée. Et les exemples sont légion, à l'image du tronçon Bab El Oued - Z'ghara dont l'état de la route est, le moins qu'on puisse dire, dangereux, car au niveau de la polyclinique de Bab El Oued, un cloaque obstrue non sans danger la circulation routière sans compter la vanne d'eau éclatée au niveau du 50, rue Ibn Toumert. Ainsi, les automobilistes, notamment le transport en commun, souffrent de ce manquement de la part des services concernés qui ne daignent asphalter la voie menant à la basilique Notre Dame d'Afrique que lorsqu'un cortège d'officiels emprunte le passage.