Suite à l'article paru dans votre journal N°6238 du 28 avril 2011, nous, le Syndicat des bijoutiers d'Oran, nous vous adressons cette correspondance afin de corriger les informations parues dans l'article concernant les Bijoutiers de M'dina J'dida à Oran qui insinue que la majorité des bijoutiers d'Oran travaillent dans l'informel ou encore soit importent frauduleusement, soit fabriquent dans des ateliers clandestins sans fournir aucune preuve tangible. L'article porte préjudice à notre métier et aux commerçants de M'dina J'dida qui travaillent en règle, selon la loi. Possédant des registres de commerces légaux nous payons nos impôts et droits fiscaux dans le temps. Même si ce fléau existe, il est sur tout le territoire algérien et ne se résume pas qu'au quartier de M'dina J'dida. Le Président du syndicat des Bijoutiers d'Oran