Les habitants de la cité Rabia Tahar, commune de Bab Ezzouar, revendiquent la prise en charge des routes secondaires de la cité. Si la route nationale N°5 a bénéficié d'un bitumage de qualité, les routes cachées entre les bâtisses sont toujours dégradées. «Depuis des années, nous vivons un cauchemar. L'été, c'est la poussière qui envahit nos maisons et en hiver, c'est dans la boue que la cité est plongée», se plaint un habitant du quartier qui rappelle que quelques ruelles ont été bitumées, mais la grande partie est restée «boueuses».