Jean-François Gavoury, président de l'association pour la protection de la mémoire des victimes de l'OAS, contacté par téléphone, nous affirme qu'il a souhaité participer à ce congrès «à titre individuel pour éviter certaines équivoques» et qu'il s'y rend en tant qu'«observateur». «Mme Guiraud déclare sur un site (ndlr : Notre journal, dédié aux pieds- noirs partisans de l'Algérie française, le texte a été retiré du site) avoir tout fait pour empêcher la présence de victimes directes de l'OAS ou indirectes», nous a indiqué le fils du commissaire Gavoury, assassiné par l'OAS.