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Menace des décharges sauvages
Cité des 1024 Logements à Ouled Yaïch
Publié dans El Watan le 22 - 09 - 2011

L'activité commerciale dans ce quartier s'effectue dans une totale anarchie.
Oued Smar bis est le vocable qu'aiment à coller certains habitants de la cité des 1024 Logements, relevant de la commune de Ouled Yaïch, à leur propre quartier, tant il n'y fait pas bon vivre. Les bâtiments, faisant face au marché de fruits et légumes, sont quotidiennement envahis par les fumées et les émanations venant des décharges sauvages de toutes sortes de déchets provenant principalement de ce marché et des habitations limitrophes.
Ces détritus, apprend-on sur les lieux, s'entassent à longueur de journée et «au lieu de les évacuer ailleurs, on préfère les brûler, faisant ainsi fi de toutes les règles d'hygiène et de sécurité, tout en connaissant les risques sur la santé publique, tels que l'asthme, les différentes allergies…», insiste un habitant, qui a préparé pour la circonstance une requête détaillée. Certains riverains affirment qu'ils n'ont jamais vu le camion de l'APC de Ouled Yaïch emprunter leurs ruelles ou du moins quelques passages oubliés.
A l'arrière-plan de la cité des 1024 Logements, un point de confluence des ordures a été aménagé ceint par un mur construit en parpaing qui ne désemplit guère. Les ordures jonchent les alentours du réceptacle de déchets.«Cela est dû aux chiens errants ainsi qu'aux chats qui rôdent dans les parages, éventrant tout sur leur passage : sachets en plastique, emballages, cartons…, favorisant la dispersion des déchets sur des dizaines de mètres autour du point de décharge», explique-t-on sur les lieux.
L'incivisme des citoyens est à relever dans ce décor de désolation, sinon quelle explication donner à la transformation des jardins de la cité en lieu où «poussent» des bouteilles en plastique, des sachets en nylon, des gobelets, des cartons, textiles usés et bien d'autres babioles consommables au quotidien.Les trottoirs qui longent cette cité sur presque 500 m, sont, eux aussi, tapissés d'objets hétéroclites, notamment des emballages en plastique.
Cette situation a favorisé la prolifération de moustiques et de rats. «On ne peut même pas ouvrir nos fenêtres quand ils brûlent les ordures», se plaint un habitant. On s'accorde tous à dire que les activités commerciales au niveau du marché des fruits et légumes s'effectuent dans une totale anarchie. «Qu'est-ce qui explique l'entêtement de ces commerçants à ne pas vouloir plier bagages, du moment qu'un marché aménagé se trouvant juste dans le voisinage, et de surcroît prêt, n'attend que sa mise en exploitation», se demande-t-on. On s'interroge, par ailleurs, pourquoi que les autorités locales n'ont pas donné le feu vert pour l'ouverture du nouveau marché. «Qu'attendent-elles ?» «Si quelques travaux sont toujours en cours, qu'ils nous expliquent la situation pour nous rassurer», clame-t-on.


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