Deux meetings seront animés par Louisa Hanoune le 8 mars, à l'occasion de la Journée internationale de la femme, à la salle des conférences de la Safex, à Alger, et le 9 mars à la salle Malek Bennabi, à Sétif. Au programme, « la renationalisation des hydrocarbures est la condition pour les droits des femmes travailleuses pour la citoyenneté », précise un communiqué du parti. Une constante progression du nombre d'adhésions est enregistrée, débute le communiqué, mais l'axe est porté sur la liberté syndicale et ses entraves, la lutte des journalistes pour la liberté d'expression et la dessaisine du Parlement sur la question relative à la charte et la réconciliation nationale. Le secrétariat politique exprime sa « plus vive préoccupation devant les atteintes systématiques du droit syndical ». Sur le thème de la charte, le parti rappelle son appel à l'endroit du peuple pour voter en faveur de la paix et la souveraineté nationale. Cependant, le Parti des travailleurs (PT) s'inquiète « du caractère contradictoire de la charte dans son contenu et qui reflète la crise ». Aux fins de venir à bout de cette crise, le parti suggère d'ouvrir le débat sur les questions de la responsabilité, « considérant que s'agissant d'une guerre dont les acteurs étaient et sont encore multiples, cette question complexe nécessite que les Algériens établissent (...) les origines de la crise et ses développements pour tourner résolument la page de la tragédie », poursuit le communiqué.