Depuis un certain temps, les bus privés venant des hauteurs de la capitale ne font pas un arrêt au niveau des stations du 1er Mai. Les usagers qui trouveraient à redire se voient informer par les receveurs que les policiers en faction « les tiennent à l'œil ». Entre-temps, ces mêmes usagers sont dans l'obligation de descendre non loin du marché Ali Mellah ou pratiquement à Laperrine. Ainsi, ils font le parcours jusqu'au centre-ville à pied ou reviennent de la station Aïssat Idir. Toutefois, une plaque indique un arrêt facultatif, s'emportent les citoyens. Le responsable de l'EGCTU n'était pas à son bureau, dans la matinée d'hier.