La contribution intitulée «France Algérie : lever toutes les hypothèques», à l'initiative du cercle Nedjma (El Watan du 15 décembre) a recueilli l'adhésion de nombreux Algériens de France et d'Algérie de tous horizons, qui prennent ainsi position sur un sujet d'importance nationale. Et qui veulent que la partie française sache que des Algériens des deux rives souhaitent qu'entre l'Algérie et la France s'engage «un nouveau cycle de relations qui rompent avec les pratiques en vigueur à ce jour» autour des thématiques développées dans le texte que nous avons publié samedi et que les lecteurs intéressés peuvent lire sur le site d'El Watan. •Les premiers signataires sont, par ordre alphabétique : Mohammed Karim Abboub, psychanalyste, Paris ; Faïza Aït Kaci, ingénieur, France ; Arezki Aït-Larbi, journaliste, Algérie ; Ouali Aït Yahia, universitaire, Algérie ; Sanhadja Akrouf, militante féministe, France ; Mohammed Aliane, enseignant, Paris ; Zineb Ali-Benali, professeur des universités, France ; Tewfik Allal, correcteur-typographe, France ; Zoubir Arous, professeur, Université d'Alger ; Malika Bakhti, ingénieur d'études, CNRS, Paris ; Slimane Bedrani, professeur, Alger ; Farouk Belkeddar, responsable associatif, France ; Yougourtha Bellache, maître de conférences, Université de Bejaïa ; Aicha Benabdelmoumène, sociologue, France ; Nedjma Benaziza, Architecte, vice-présidente de Vérité et justice en Algérie, France ; Mustapha Benfodil, journaliste, Alger ; Ali Bensaad, maître de conférences, Université Aix-Marseille ; Karim Bessaoud, doctorant en informatique, France ; Abderrahmane Bouchène, éditeur, France ; Abdelaziz Boudjadja, enseignant chercheur, Algérie ; Fatma Boufenik, maîtresse de conférences, Université d'Oran ; Omar Bouraba, gérant entreprise, France ; Nabil Challal, militant associatif, Paris ; Halim Derbal, éducateur spécialisé, France ; Nahla Djabi, conseillère juridique, Le Caire ; Louisa Dris Ait Hamadouche, enseignante, Alger ; Nassera Dutour, porte-parole du Collectif des familles de disparus en Algérie, France ; Youcef Fates, maître de conférences, Université Paris-X. ; Ali Guenoun, doctorant en histoire, Université Paris-I ; Djamel Guerid, professeur, Université d'Oran ; Mohammed Hachemaoui, universitaire, journaliste, Alger ; Mimouna Hadjam, porte-parole de l'association AFRICA 93, France; Fouad Hakiki, enseignant chercheur, Université d'Oran ; Mona Harbi, enseignante, France ; Mohamed Hennad, professeur de sciences politiques, Alger ; Omar Kezouit, informaticien, militant associatif, Paris ; Tahar Khalfoune, juriste, Lyon ; Nourredine Khellassi, journaliste, Alger ; Souad Labbize, romancière, France ; Feriel Lalami, sociologue, France ; Mehdi Larbi, maître de conférences, Université d'Oran ; Karima Lazali, psychanalyste, Alger-Paris ; Rachid Malaoui, syndicaliste, président du SNAPAP, Algérie ; Adlène Meddi, journaliste, Alger ; Arezki Metref, journaliste, Alger-Paris ; Nadir Moknèche, cinéaste, Paris ; Salah Oudahar, cadre culturel, France ; Malika Rahal, historienne, CNRS, Paris ; Nourredine Saadi, écrivain, professeur des universités, France ; Khaoula Taleb Ibrahimi, professeur des universités, Alger ; Wassyla Tamzali, essayiste, Alger ; Yassin Temlali, journaliste, Alger ; Rachid Tlemçani, professeur, Université d'Alger ; Houari Touati, directeur d'études EHESS, Paris ; Nesroulah Yous, artiste, militant des droits de l'homme, France ; Mohand Rachid Zeggagh, sociologue, France ; Rachid Zouaimia, professeur, Université de Bejaïa.