Le cambriolage de Kaâboub élucidé Les éléments de la police judiciaire de la sûreté de wilaya n'ont pas mis beaucoup de temps à élucider le cambriolage d'une habitation de Kaâboub, une cité située à la périphérie nord du chef-lieu de wilaya. Ainsi, l'enquête a permis d'identifier un des «visiteurs» du logement où a été prise une marchandise d'une valeur de 1,92 million de dinars, des bijoux et 100 000 DA. Coincé, le mis en cause lâche le morceau. Avec ses trois acolytes, ils ont été placés en détention préventive pour association de malfaiteurs, vol et destruction de biens privés. Leïla Benani El Eulma : les voleurs du coffre appréhendés Impliqué dans le vol du coffre-fort d'une maison de la cité Houari Boumediene, d'El Eulma, un réseau constitué de 5 individus a été démantelé par les éléments de la police judiciaire de la sûreté de daïra. Cinq voitures dont trois touristiques, et une moto (grosse cylindrée) ont été saisies par les enquêteurs. L'on apprend que les engins saisis ont été achetés avec le butin volé, estimé à 10 millions de dinars. Utilisé dans le «transport» du coffre volé, un véhicule utilitaire a été en outre confisqué par les policiers, qui marquent de nouveaux points. A la suite de leur audition par le magistrat instructeur près le tribunal d'El Eulma, les prévenus ont été écroués. L. B. Une histoire d'avaloirs Les pluies qui se sont abattues ces derniers jours sur la ville d'El Eulma ont complètement inondé celle-ci, car les égouts du réseau routier de l'une des plus importantes agglomérations de la wilaya sont complètement obstrués. Les lieux ont été envahis par la boue, les routes bloquées et les piétons marchaient à cloche-pied pour essayer d'éviter le ruissellement des eaux s'échappant des caniveaux «surbookés». Ces scènes sont devenues habituelles dans une cité commerçante comme El Eulma où les avaloirs ne sont jamais désengorgés pour assurer une bonne évacuation des eaux pluviales, lesquelles ne sont pas d'ailleurs les seules causes de ce désagrément qui n'en finit plus. Ainsi, le débordement des eaux usées accentue les déboires de la population, notamment celle des quartiers de Boukhabla, Bourefref, Thabet Bouzid, Houari Boumediene et Souamaâ. Leurs cris de détresse demandant une prise en charge rapide et efficiente du problème du réseau d'assainissement des lieux précités ne trouvent pour l'heure aucun écho. Benabdallah A. Bir El Arch : El Majen souffre du manque d'eau potable Les villageois de mechta El Majen, relevant de la daïra de Bir El Arch et abritant plus de 500 familles, affrontent un quotidien des plus durs. L'absence d'eau potable reste cependant le problème qui agace le plus ces villageois. Pour se procurer cette matière vitale, les habitants sont contraints de s'alimenter des régions lointaines à dos d'âne ou à l'aide de brouettes. Ils sont parfois, pour ne pas dire souvent, obligés de débourser des sommes faramineuses, hors de portée pour la plupart d'entre eux, pour la location des citernes tractées dont les prix vont jusqu'à 800 DA l'unité. Les multiples requêtes adressées aux services de daïra et d'APC, sont toutes restées lettre morte, et cela ne fait que perdurer la crise d'alimentation en eau potable dans cette région qui craint la soif d'un été qui arrive à grandes enjambées. B. A.