Le temps passe vite, les rentrées sociales se suivent et se ressemblent. L'actuelle, la dernière pour les élus locaux de la capitale des Hauts- Plateaux qui se dit : « Vivement la fin de ce mandat à mettre vite aux oubliettes », d'autant qu'il s'est distingué par des frasques qui ont envoyé la « belle » et « propre » Aïn El Fouara au fond du précipice. En attendant la fin du cauchemar qui perdure depuis 2002, le commun des mortels s'interroge. L'assemblée communale se trouve, dit-il, devant un grand dilemme. Pour sauver la face, va-t-elle se ressaisir et marquer, à travers l'amélioration du cadre de vie, (l'éclairage public, l'hygiène et l'entretien des routes, les principales missions de la commune) des points et perpétuer, ainsi l'adage : « Il n'est jamais trop tard pour bien faire ? » En choisissant cette option, l'assemblée sauvera les meubles. Elle sera donc en mesure de présenter un bilan même tronqué. Dans le cas où elle continuerait dans l'escarpement des chemins du clanisme, « l'auguste » assemblée n'aura qu'une issue, le dépôt de bilan, sanctionné inévitablement par l'impitoyable histoire (mémoire des peuples) qui retiendra …