Station de bus : Une situation alarmante à El Eulma Les conditions de fonctionnement au niveau de la gare routière, jouxtant le marché de Dubaï, et qui accueille un parc considérable deviennent très pénibles. Nombre de cars et de taxis assurant le transport de et vers la cité d'El Eulma se partagent un espace de plus en plus inadéquat et inapproprié à l'activité. La station n'assume plus son rôle face à l'importance du trafic qui y transite. La foire d'empoigne entre les nombreux transporteurs est chose fréquente et quotidienne. Le brouhaha et la pollution balafrent l'environnement. Cette situation met mal à l'aise et les usagers et les transporteurs. « Les chargés de la gestion de la station tentent l'impossible mais hélas, le nombre important de véhicules ne leur laisse pas beaucoup d'initiatives », disent les transporteurs. La situation tend à perdurer et elle n'épargne personne. « Cette situation nécessite un véritable réaménagement et une prise en charge totale de l'infrastructure qui mérite mieux, d'autant qu'elle est rentable », martèlent les chauffeurs de bus. Bir Labiod : Des élèves « oubliés » Les collégiens de Bir Labiod, localité du sud-est de la wilaya de Sétif, ont été comme tous les élèves de 4e année invités à passer les examens de musique et de dessin comptant pour le B E M (Brevet d'Enseignement Moyen). Convoqués au collège de Guidjel, situé à une dizaine de km, ils ont été oubliés et abandonnés par les encadreurs qui devaient les raccompagner. Ainsi délaissés, ils ont dû attendre vainement la venue de ces encadreurs désignés, puis prenant leur courage à deux mains et ne comptant que sur leurs propres moyens, ils sont allés passer leurs examens avec toutes les contraintes et le stress induits par le retard. Maoklane : Le calvaire perdure La commune de Maoklane, 55 km au nord du chef-lieu de la wilaya, connaît de longues et fréquentes perturbations en matière d'alimentation en eau potable. Plusieurs dachras, telles Ouled Moussa, Oued el Melha, El Mechta ainsi que Zrour sont sans eau depuis des lustres. Cette situation est devenue, ces derniers temps, intenable. Elle risque d'engendrer une multitude de grands problèmes d'hygiène et de santé aux conséquences imprévisibles. « Malgré le projet de raccordement initié depuis sept ans déjà, nous n'avons pas encore vu couler l'eau de nos robinets, notamment ces deux dernières années », dira un habitant de Oued el Melha. Le village de Lagaguine souffre, à son tour, du manque de ce liquide vital. Ses habitants ont protesté à plusieurs reprises, sans résultat. « Cela fait longtemps que nous réclamons le raccordement à l'AEP, mais en vain, notre seule source d'eau, actuellement, ce sont les fontaines qui ne répondent plus à nos besoins », dira un villageois de Lagaguine. Une agence CNEP atypique Les clients de l'agence 352 de la CNEP située dans la cité des 1006 logements ne tarissent pas d'éloges sur le travail et l'accueil du personnel de ladite agence. Les clients habitués à la raideur et même quelquefois à l'agressivité au niveau des diverses administrations, sont étonnés devant l'amabilité, la gentillesse et l'affabilité dont font montre les agents de cette succursale. « Chaque fois que je vais à l'agence, je suis très bien reçu, l'ambiance est cordiale, on se sent à l'aise. On a réponse à toutes nos questions et on nous conseille de façon intelligente . Pour un crédit, vous aurez toutes les explications et tous les conseils qui ne léseront personne. Si au moins toutes les administrations ressemblaient à celle-ci ! », dira admiratif Faouzi, un client de la 352. Ce genre de comportement mérite d'être signalé et salué.