« Les influences ottomanes au Maghreb », c'est l'intitulé d'un colloque organisé par le centre d'études maghrébines en Algérie et l'institut américain d'études maghrébines, qui se tiendra aujourd'hui et demain au fort Santa Cruz. Plusieurs universitaires nationaux, notamment d'Oran, participeront à cette manifestation. Le 16 juin, le même centre a invité Laurie Brand, Politologue à la University of Southern California, pour une conférence qu'elle devra donner à l'institut du chercheur (ex-IAP), intitulée « Algérie : Etat et communauté à l'étranger ». Le lendemain, Fayaz Hamad, de la même université, interviendra sur « les Américains arabes et les Arabes aux Etats-Unis. » Durant le mois de mai, plusieurs écrivains et historiens américains ont animé des conférences, à l'exemple de Thomas De Georges, historien à l'American University of Sharjah, Jaime Manrique, écrivain de la Columbia University, et, enfin, James McDougall, historien à la Princeton University, qui ont intervenu respectivement sur « Un retour amer : l'histoire sociale des anciens combattants algériens, 1945- 1962 », « La mosquée et le cimetière : espaces du sacré et pouvoir symbolique à Constantine en 1936 » et « A la búsqueda de Cervantes y la importancia del mundo árabe en la escritura de Don Quixote. »