La programmation, pour les besoins de la réouverture de la salle répertoire de Tiaret de la cinémathèque Algérienne d'un cycle dédié à Ahmed Ayad, dit Rouiched, a été relativement à la mesure des attentes nourries par les cinéphiles. La présence d'une noria d'acteurs de renom n'a pas pour autant constitué un motif supplémentaire pour faire le plein dans un espace ou va manquer un bon animateur que l'actuel DG dit en train de chercher parmi les jeunes universitaires. A cet aléa vient s'ajouter le problème de l'équipement lui-même. En effet à bien comprendre « l'appareil de projection nouvellement acquis reste de loin dépassé par les dernières technologies en la matière ». Un aléa que notre interlocuteur semble mettre à l'actif de la mégalomanie de certains qui avaient à gérer le marché d'aménagement sans consultation des experts.