Ce taux, qualifié d'effarant par le professeur Sari Zoubir, a été avancé lors du symposium national sur l'hypertension artérielle en Algérie, organisé récemment à Annaba par le laboratoire Novartis. En présence de plus de 200 participants dont des praticiens et des pharmaciens venus de toutes les régions d'Algérie, les intervenants ont abordé différentes questions sur cette pathologie. Ainsi, l'on a su que les chercheurs ont avancé à grands pas dans différents challenges à l'origine de la mise sur le marché de nouveaux médicaments et des voies nouvelles qui s'ouvrent pour le traitement de l'hypertension, le diabète et autres. Signalons que 8% des dépenses du secteur de santé en Algérie sont dévolus à la prise en charge de l'hypertension et des maladies cardiovasculaires