Les journalistes travaillent dans des locaux appelés « maison de la presse », un lieu indigne pour la profession, où odeurs nauséabondes se mêlent à l'exiguïté, l'humidité, l'insécurité et les coupures cycliques de l'électricité. Radio Tiaret a pris l'initiative d'organiser, cette année, la cérémonie symbolique de la célébration de la journée mondiale de la liberté de la presse. Les confrères de la presse écrite se sont vus offrir un espace pour l'exposition d'articles centrés sur des sujets de proximité. Radio Tiaret a tenue son talk-show, dont un direct, depuis l'esplanade le Regina. La nouveauté pour ce média qui émet depuis près de 10 ans sur FM, c'est le fait de s'être doté d'un site Internet grâce à la contribution……d'un agent de la boite. Cependant, il subsiste pour la corporation des aléas liés à l'exercice du métier. Cantonnés dans une maison de la presse qui ne contient que 7 bureaux, dans un lieu indigne pour la profession, où odeurs nauséabondes se mêlent à l'exiguïté, l'humidité, l'insécurité et des coupures cycliques de l'électricité, les journalistes espèrent tout de même qu'à la faveur du nouveau statut, de la charte d'éthique et de la future convention collective, leur sort s'améliorera. Le secrétaire général de la wilaya, accompagné du P/APW, d'obédience FLN, Kadda Benaouda, a présidé hier matin la cérémonie marquant la journée internationale de la liberté de la presse. L'invité de la presse, après avoir visité l'exposition, a fait une visite à la maison de la presse. M. Beloukarif, qui s'est vu proposer quelques solutions urgentes face à l'état déplorable de ce lieu où travaillent les journalistes, s'est dit « préoccupé et promet une prise en charge imminente ».