Alger- la phalange connue sous le nom « Katibat El Farouk », de l'organisation El Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), s'est basé pour l'exécution de ses attentat contre le siège du Conseil constitutionnel et le siège des Nations Unies à Hydra, sur des compétences dans le domaine des explosifs et des membres actifs de l'organisation inconnus par les services de sécurité La Katiba a sélectionné ses recrues pour commettre l'attentat contre le Conseil constitutionnel et le siège des Nations unies à Hydra, parmi les experts qui ont fait preuve de compétence dans les opérations de destruction et assassinat du chef de la police judiciaire de Boumerdès, tentative d'attentat contre l'académie militaire de Cherchell et l'attaque contre les travailleurs du barrage de Maâla à Lakhdaria, l'attentat contre l'entreprise Razel. Ces derniers utilisaient des téléphones mobile pour faire exploser les bombes à distance et comptaient sur les compétences des ingénieurs et experts en mécanique ainsi que des architectes qui ont procuré les plans des sièges visés par les attentats, à l'instar du fils de l'ex président de l'APC de Belouizdad qui était architecte. Les attentats planifiés avec l'aide de Bouzekzaka Abderrahmane qui a commencé par le recrutement de « B. Fouad », qui, à son tour, a mis en contact la katibat avec ses amis « K. Youcef », architecte et « F. Tahar », ingénieur d'état en mécanique, employé à BCR. Ces derniers s'étaient mis d'accord avec l'émir de la katiba pour faire sauter le siège de l'entreprise BCR et « M. Mustapha », proche de l'ancien chef du gouvernement Réda Malek et de Isaâd Rebrab, patron du groupe CEVITAL, en exploitant la sœur de l'accusé, qui était pharmacienne et qui assurait les médicaments aux terroristes et planifier pour le kidnapping des familles Rebrab et Malek dans le but de demander des rançons. La cour criminelle près le tribunal d'Alger à reporté l'affaire jusqu'à ce que la cour suprême tranche dans le recours présenté par la défense contre la chambre d'accusation après le refus de la demande de libération présentée par la défense de l'accusé « M. Kamel Mustapha », un proche de Réda Malek et de l'homme d'affaire Rebrab