«Ces médicaments ne sont pas des bonbons et les prendre est loin d'être inoffensif ». En effet, La prise de médicaments contre l'insomnie ou l'anxiété augmente le risque de mortalité de 36%. Résultats d'une étude menée par des chercheurs de l'Université de Laval (Canada), publiés dans la dernière édition de la Revue canadienne de psychiatrie, qui renforcent la préférence, pour la prise en charge de l'insomnie ou de l'anxiété, d'une approche pharmacologique de court terme associée à un soutien psychologique.