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Cela s'est passe un jour/ Aventures, drames et passions celebres
Esprit, es-tu là ? (150e partie)
Publié dans Info Soir le 06 - 02 - 2010

Résumé de la 149e partie n Les jets de pierres redoublent d'intensité avec une nouvelle pensionnaire, Jacqueline M., âgée de dix-sept ans. On la soupçonne d'être à l'origine du phénomène.
La police n'ayant pas retrouvé les lanceurs présumés des cailloux, le docteur Cuénot décide de faire appel à l'Institut métapsychique de Paris. Celui-ci lui envoie le professeur Robert Tocquet, spécialiste des phénomènes paranormaux et auteur de plusieurs ouvrages à succès.
Le docteur Cuénot écrit :
«Lorsque les malades furent interrogés par M. Tocquet, les uns déclarèrent n'avoir pas observé de chutes de pierres, d'autres n'en avoir vu tomber que deux ou trois à côté d'eux sans y prêter attention. Certains refusèrent même de déposer. D'autres, enfin, les plus nombreux, une quinzaine ou une vingtaine, confirmèrent purement et simplement les faits. Certains témoins avaient reçu, autour d'eux, de 10 à 20 cailloux. L'un d'eux en avait compté 17 en cinq minutes. Quatre joueurs de bridge signalèrent avoir reçu, un jour, une grosse pierre qui aurait pu facilement blesser l'un d'eux à leur table de jeu. Un autre, un jour, en avait reçu un sur sa voiture, d'autres dans leur cabinet de toilette ; plusieurs déclarèrent être rentrés précipitamment certains jours dans leur chambre, la situation devenant intenable sur les terrasses.
Tout en reconnaissant le rôle déterminant de Jacqueline M. dans l'apparition de chutes de cailloux, personne ne put déclarer l'avoir surprise en train de lancer quoi que ce soit ou avoir découvert chez elle une attitude un tant soit peu suspecte. Sa mise en vedette la rendait d'ailleurs vulnérable. Elle fut très surveillée par tous les autres malades et dans cette situation, aurait été bien en peine d'intervenir d'une façon active sans être immédiatement repérée.»
Des témoignages sont recueillis. Le docteur Cuénot en rapporte les plus intéressants.
«un soir d'août, alors que les cailloux tombaient en abondance, sur la terrasse nord, un malade, André T. , agent de police à paris, leva la tête au moment précis où une grosse pierre, d'environ 200 à 300 grammes, était lancée par la fenêtre d'une chambre du deuxième étage du bâtiment, côté est, désaffecté. Il ne vit ni bras, ni tête, ni personne, mais vit seulement un caillou qui sortait de ladite fenêtre pour tomber sur le sol comme s'il était lancé du fond de la pièce par quelqu'un se cachant. L'étage, immédiatement exploré, fut trouvé vide et la porte de ladite chambre fermée à clef comme toutes les chambres inoccupées…
Un autre soir, vers 21 heures, trois malades se trouvaient sur la terrasse avec Jacqueline M. lorsque les jets de pierres recommencèrent, venant visiblement toujours du même bâtiment. Pour en avoir le cœur net, les quatre amis montèrent au troisième étage, ouvrirent la porte, fermée à clef de l'extérieur et ne virent personne. Redescendus sur la terrasse, les pierres continuèrent à tomber, ils remontèrent examiner cette fois le deuxième étage où toutes les portes des chambres étaient également fermées, loquets enlevés. Pour la seconde fois, leur démarche fut infructueuse même après avoir pris la peine d'ouvrir chaque pièce avec un loquet de secours.»
Tous ces événements ont transformé l'ambiance dans la clinique. Autrefois serein, patient, le personnel – s'entendant à merveille –, est maintenant crispé. Outre cette ambiance, il y a la date de fermeture de la clinique qui approche… (à suivre...)


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