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Histoires vraies
Nuit d'effroi (2e partie)
Publié dans Info Soir le 29 - 03 - 2010

Résumé de la 1re partie n Alors qu'Evelyn et Mark se rendorment malgré les bruits suspects, la porte de la chambre s'ouvre trois hommes, encagoulés, font irruption…
Les revolvers qu'ils tiennent à la main valent mieux qu'un long discours. Mark jette un regard désespéré vers Evelyn. Elle est maintenue sur son lit par le troisième bandit. Il la serre à la gorge et lui applique son revolver sur la tempe. Mark dit :
— Ne lui faites pas de mal. Prenez ce que vous voudrez. De toutes les façons nous n'avons rien ici. Juste quelques dollars dans mon portefeuille et dans son sac...
Les hommes ont l'air de mauvaise humeur. Ils attrapent le sac d'Evelyn et le vident sur le lit. Piètre butin. Comme prévu, le portefeuille de Mark n'est guère plus garni... Mark hésite à parler. Il réfléchit à toute vitesse : les enfants ? Ont-ils vu les enfants ? Si j'en parle, ils vont se précipiter vers leur chambre. S'ils ne se sont pas aperçus de leur présence...
Mais Mark aperçoit soudain Rose et Daryl qui apparaissent dans l'encadrement de la porte. Ils ont entendu du bruit chez leurs parents et viennent voir ce qui se passe. Pas besoin d'expli-cation. Rose se met à hurler de peur. Daryl se retient pour ne pas pleurer. Un des gangsters attrape Rose et lui applique son arme sur la tempe
— Alors, maintenant vous avez compris : pas un mot, sinon ce sont les mômes qui trinquent !
Avec les cordons des rideaux de la fenêtre, deux des hommes attachent Rose et Daryl. Pour plus de précaution on leur ferme la bouche avec des pansements que les hommes ont trouvés dans l'armoire à pharmacie de la salle de bains. Mark dit :
— Maman ? Vous n'avez rien fait à Maman ?
Le plus grand des malfrats répond :
— On l'a endormie pour un moment !
Que faut-il comprendre ? Est-elle assommée ? Morte peut-être ? Celui qui semble le chef dit, en ricanant :
— Bon, toute la famille est là. Pas de «nounou» en train de dormir dans la soupente ? Pas de chien méchant ?
Mark et Evelyn, chacun ligoté comme un saucisson, restent pétrifiés sur leurs lits respectifs. A quoi bon crier, ils sont trop isolés dans leur campagne si calme... Ils vont assister par la vue ou par l'oreille au sac systématique de leur maison. A chaque meuble forcé, Mark, en bon comptable, calcule instinctivement la note. Bien sûr, ils sont assurés mais quand il faudra se faire rembourser... Enfin, la famille est saine et sauve... A condition que Mamie n'ait rien de grave... Une bonne bosse sur la tête peut-être. Mamie est du genre solide, de la race des pionnières. Elle est née en 1847 en pleine conquête de l'Ouest... Du temps des durs-à-cuire.
Et le saccage continue. Après avoir dérobé tout ce qui avait un peu de valeur, les malfrats s'installent. Le chef dit :
— Bon, Ricky, descends à la cuisine et ramène-nous quelque chose à boire et à manger. Il faut qu'on décide de ce qu'on va faire d'eux !
Mark et Evelyn sentent la sueur leur couler le long de la colonne vertébrale. Ainsi, les cambrioleurs ne vont pas les laisser simplement sur place. Décider de ce qu'on va faire d'eux ? Il n'y a pas trente-six solutions : ou ils déguerpissent et laissent les Webster se débrouiller, ou bien... ils suppriment les témoins.
Mark dit :
— Partez, nous n'avons pas vu vos visages. Nous ne pourrons pas vous identifier. Laissez-nous en paix. Ce cambriolage ne porte pas vraiment à conséquence. Mais si vous décidez de nous... faire taire, vous aggraverez votre cas. C'est la chaise électrique qui vous guette. La police vous rattrapera de toutes les manières.
Le chef réfléchit :
— Et qu'est-ce qui vous dit que nous ne sommes pas déjà à moitié assis sur cette fameuse chaise ? (à suivre...)


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