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Ainsi va la vie
Cet homme que j'ai aimé (24e partie)
Publié dans Info Soir le 22 - 07 - 2010

Résumé de la 23e partie n Pour la première fois, Hakim parle à cœur ouvert avec sa femme de son incartade, comme pour exorciser une fois pour toutes ce qui s'est passé.
Il n'en parlera plus, et elle, elle ne fera plus allusion à ce qui s'est passé. C'est comme si cette période de sa vie de couple n'avait jamais eu lieu. Elle a retrouvé le Hakim qu'elle a toujours connu : attentionné, affectueux, généreux aussi.
«Et je serai toujours comme ça», promet-il.
Les semaines et les mois passent. Pour les grandes vacances, Hakim loue un bungalow au bord de la mer. Ils y feront un séjour très agréable, et c'est avec des regrets qu'ils rentrent. Mais Hakim promet :
— Nous reviendrons l'année prochaine !
En attendant, ils reprennent leurs activités habituelles. Hakim, qui a eu une promotion, a des responsabilités supplémentaires. Il travaille davantage et trouve à peine le temps de respirer ;
— Pardonne-moi de te négliger ainsi que le petit, dit-il à Hayat !
— Je comprends, dit Hayat
Le souvenir des jours où, sous prétexte de faire des heures supplémentaires il découchait, l'effleure, mais elle le rejette bien vite. Non, ce n'est pas la même chose ! Hakim est cette fois vraiment occupé. Et elle ne veut pas lui ajouter d'autres soucis…
Mais d'autres soucis vont bientôt apparaître et accaparer toute son attention.
Quelques jours après, son père, Salah, qui n'avait pas de problèmes majeurs de santé, tombe brusquement malade. Il a des maux de tête et des vertiges terribles. On croit d'abord à une forte migraine, puis à une sinusite nasale ou encore à des troubles visuels… Mais les traitements prescrits ne lui apportent aucun soulagement. On consulte des spécialistes, on fait des bilans, un scanner et la nouvelle tombe tel un couperet : le vieil homme souffre d'une tumeur au cerveau…
C'est la consternation dans la famille. Hakim, qui était, avant son incartade, très proche de son père, est bouleversé.
Il le revoit, avec Hayat, l'attendant à l'aéroport, le surprenant avec Lila à son bras. Son père, ce jour-là, était dans tous ses états.
Lui qui ne l'avait jamais mis en colère, qui ne lui avait jamais manqué de respect, il l'avait, ce jour là, plongé dans la déception… Il ne se pardonnera jamais ce qu'il a fait !
— Une tumeur, une tumeur, a-t-il dit, ce n'est qu'une tuméfaction, une excroissance… je veux qu'on refasse d'autres analyses !
Des investigations sont faites et l'on découvre que la tumeur est maligne… Les médecins n'ont pas caché que l'état du malade est désespéré mais Hakim refuse d'accepter l'inacceptable : son père va mourir !
— Il y a sûrement quelque chose à faire : il faut l'emmener à l'étranger ; il faut lui obtenir une prise en charge.
Mais obtenir une prise en charge n'est pas chose aisée, surtout que le pronostic vital des médecins n'est pas favorable.
— Je ne peux pas le laisser ainsi ! gémit Hakim.
Il appelle les parents et les amis susceptibles de l'aider, en vain. L'affaire est vraiment difficile. Des dossiers sont constitués, des démarches effectuées… Des promesses sont également faites, mais on ne dépasse pas ce stade… (à suivre...)


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