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Une épreuve pour les bourses moyennes
Publié dans Info Soir le 27 - 04 - 2004

Raisons La détérioration de la qualité des soins dans les structures hospitalières a poussé plusieurs malades à les éviter.
C?est ainsi que certains préfèrent se faire soigner dans les cliniques privées. Ils y arrivent avec l?espoir de trouver de meilleures prestations.
Ces malades ne lésinent pas sur les moyens, payant des prix souvent exorbitants, tout en sachant que le remboursement des frais de soins ou d?hospitalisation est très réduit.
Ainsi, une opération pour enlever un fibrome, par exemple, a coûté plus de 45 000 DA à Salima, femme au foyer, sans parler des frais du traitement et des analyses qui dépassent 30 000 DA. Sur ce montant, Salima ne peut compter que sur 6 000 DA de remboursement.
Quant à l?accouchement, il peut atteindre, dans certaines cliniques privées, les 40 000 DA. Cependant, un constat est fait lors de notre tournée dans les cliniques privées de la capitale : les malades rencontrés n?aiment pas parler de leur situation sociale.
Et quand ils acceptent, c?est pour affirmer qu?ils ne sont que de simples fonctionnaires. «Vous croyez vraiment que si j?en avais les moyens, je viendrais ici. J?aurais plutôt pris le premier avion pour faire accoucher ma femme dans une clinique à l?étranger», lance Hamid, sur un ton irrité. Il est venu rendre visite à son épouse qui vient d?accoucher.
Quant à Soulef, qui en est à sa deuxième intervention pour enlever un fibrome, elle explique : «Lors de ma première intervention, j?ai dû emprunter de l?argent pour payer la clinique.»
Dalila est une autre malade qui garde un mauvais souvenir de l?hôpital : «Je me souviens toujours de mon père réclamant les infirmières pour une urgence. Ces dernières le narguaient et faisaient la sourde oreille.» C?était une situation insupportable que Dalila ne peut oublier.
Aussi, pour une une cataracte, elle a choisi une clinique privée, en justifiant ce choix : «J?appréhende les attentes interminables dans les hôpitaux publics, sans parler de l?échographie, de l?angiographie et du bilan préopératoire dont les rendez-vous prennent du temps.»
Pour les frais d?intervention, Dalila se dit rassurée puisque ses s?urs, installées à l?étranger, ont promis de les lui payer. Aussi, certains malades viennent-ils de loin. Tel est le cas de ce couple qui a fait le déplacement de Larbaâ. «On a souvent fait l?éloge de cette clinique», explique-il. Ce couple précise que généralement, c?est le médecin traitant qui conseille au malade, pour un meilleur suivi, de se rendre dans une clinique privée. Généralement, ce sont des médecins sous-traitants qui exercent dans ces structures médicales.


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