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Cela s'est passe un jour/ Aventures, drames et passions célèbres
Destins extraordinaires (2e partie)
Publié dans Info Soir le 18 - 10 - 2012

Résumé de la 1re partie - A la fin du XIXe siècle, le quartier qui sera le théâtre des agressions de Jack l'Eventreur est le plus pauvre de Londres.
Trente et un août 1888, à 4 heures du matin. Charles Cross, un charretier qui a travaillé toute la nuit, rentre chez lui. Il est fatigué et, cette fin d'été, il commence à faire froid à Londres. Vivement qu'il rejoigne son taudis et qu'il s'enroule dans ses couvertures pour dormir un peu, avant de reprendre le travail !
Les rues sont, comme d'habitude, mal éclairées, et l'ouvrier marche avec précaution. Whitechapel n'a jamais été un quartier sûr et il peut se cacher, au détour de chaque venelle, un malfaiteur prêt à lui couper le cou, pour s'emparer des quelques pièces qu'il a gagnées si durement.
En passant devant la Buck's Row, Cross aperçoit une bâche posée dans un coin.
Il pense aussitôt s'en emparer. Mais dès qu'il la soulève, il aperçoit qu'il y a quelqu'un en dessous. Un ivrogne ? Il se baisse et aperçoit une jambe de femme. Mais il fait trop sombre pour voir ce qu'elle a. Il pense aussitôt à une agression et se dit que la femme a peut-être besoin de secours. Comme un homme passe par là, il l'appelle.
— S'il vous plaît, venez m'aider !
L'homme approche, méfiant.
— Que se passe-t-il ?
— Il y a une femme étendue, elle a peut-être été victime d'une agression.
A deux, ils tentent de la soulever, mais ils n'y parviennent pas.
— Elle ne réagit pas, dit l'homme, je crois qu'elle est morte !
— Il vaut mieux appeler un policier !
Ils partent à la recherche d'un policier et ne tardent pas à en trouver un : John Neil, qui vient de commencer une ronde dans le quartier.
— Je crois qu'il y a une femme morte, dit Cross, nous avons essayer de la soulever mais nous n'y sommes pas arrivés !
— Elle doit être saoule, dit le policier.
Il se laisse conduire à Buck's Row. La femme est toujours là et Neil l'éclaire de sa lanterne. Les trois hommes reculent aussitôt, effrayés par le spectacle. La malheureuse est effectivement morte, assassinée, mais d'une horrible manière. Elle a été égorgée si profondément que la tête pend, presque arrachée, le ventre a été ouvert, et les viscères arrachés. Le cadavre est encore chaud, ce qui signifie que le meurtre venait d'être commis. Neil appelle un autre policier qui va chercher un médecin. Le docteur Rees Liewellyn constate le décès et fait transporter le corps à la morgue de Old Montague pour revenir l'examiner dans la journée. Il recommande au personnel de la morgue de laisser le corps dans l'état où il se trouve, avec le sang.
Neil, lui, va réveiller les habitants du quartier pour les interroger, mais personne n'a rien vu, personne n'a rien entendu. Pourtant la malheureuse a dû pousser des cris stridents quand l'assassin la charcutait ! (A suivre...)


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