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Suspense
La maison biscornue (114e partie)
Publié dans Info Soir le 14 - 11 - 2012

Résumé de la 113e partie - Alors que Charles discute avec Joséphine, il entend un soupir venant de derrière la porte...
Je me sentis très inquiet. Quelqu'un, j'en étais sûr, s'était tenu derrière cette porte et avait entendu les propos de Joséphine.
Je revins vers l'enfant, qui, tout en mangeant sa pomme, continuait à dévisager Clemency d'un air malicieux, et je la pris par le bras.
— Venez, Joséphine ! Nous avons à causer.
Je m'attendais à ce qu'elle protestât, mais j'étais bien décidé à passer outre. Je l'entraînai dans une petite pièce dont on se servait guère et où il était peu vraisemblable qu'on vînt nous déranger. La porte fermée, j'invitai Joséphine à s'asseoir, puis, prenant moi-même une chaise, je m'installai en face d'elle.
— Maintenant, dis-je, nous allons nous expliquer !
Joséphine, qu'est-ce que vous savez ?
— Bien des choses !
— Je n'en doute pas. Vous avez certainement dans la tête des informations innombrables, dont certaines présentent de l'intérêt et d'autres non. J'imagine que vous avez fort bien compris ce que je vous demande. Je me trompe ?
— Non. Je ne suis pas idiote, moi !
La pointe m'était-elle destinée ou visait-elle les policiers ? Je ne perdis point mon temps à m'interroger là-dessus. Je poursuivis :
— Vous savez qui a mis quelque chose dans votre chocolat ?
Elle hocha la tête affirmativement.
— Vous savez qui a empoisonné votre grand-père ?
Nouveau hochement de tête.
— Et qui a essayé de vous tuer dans la buanderie ?
Encore un hochement de tête.
— Alors, dis-je, vous allez me raconter tout ce que vous savez ! Vous allez tout me dire... et tout de suite !
— Non.
— Vous ne pouvez pas faire autrement. Tous les renseignements que vous possédez ou que vous découvrez, vous êtes dans l'obligation de les transmettre à la police !
— Les policiers sont des imbéciles et je ne leur dirai rien du tout. Ils ont été s'imaginer que l'assassin, c'était Brenda ou Laurence. Moi, je n'ai pas été si bête que ça ! Je savais très bien qu'ils n'étaient pas coupables. J'ai eu ma petite idée tout de suite, dès le début. J'ai fait une expérience... et, maintenant, je sais que j'avais vu juste !
Elle avait terminé sur une note de triomphe.
Faisant appel à toute ma patience, je recommençai.
— Joséphine, vous êtes extrêmement forte, je tiens à le dire...
Elle parut très contente d'entendre ça. Je poursuivis :
— Seulement, à quoi vous servira-t-il d'avoir été très forte si vous n'êtes plus en vie pour savourer votre victoire ? Vous ne vous rendez pas compte, petite sotte, qu'aussi longtemps que vous garderez pour vous seule les secrets que vous détenez, vous serez en danger ?
— Je le sais très bien !
— Deux fois déjà vous avez failli y rester ! La première, il s'en est fallu de peu que vous ne fussiez tuée ! (A suivre ...)


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