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Histoires Etranges : L'horrible mystère du Rocher du taureau 2e partie
Publié dans Info Soir le 25 - 12 - 2014

Résumé de la 1re partie ■ Le Rocher du taureau se trouve dans le Karst morave, région jadis peuplée par les Celtes. A l'intérieur du rocher se trouve une grotte relativement spacieuse, éclairée par une fente dans la paroi du rocher.
On les entraîna de force sur un autel de pierre où les pauvres furent charcutés de la façon la plus odieuse que l'on puisse imaginer. On leur trancha bras, jambes, mains et pieds, puis on leur brisa le crâne. Ensuite on laissa les corps dépecés sur et autour de l'autel avant de mettre le feu à la chambrette qui fut dévorée par les flammes purificatrices. Que s'est-il vraiment passé et quelle est la vraie origine de cet événement sinistre? Il existe deux explications possibles à l'horreur de la grotte du Rocher du taureau. Il fut effectivement prouvé que les rites de la religion celtique liés à la fertilité de la terre comportaient à l'origine des sacrifices humains. Mais en ce cas précis il est hors de question qu'il s'agisse d'un rite lié à la fertilité de la terre. Il s'agissait bel et bien d'une cérémonie funèbre d'un prince guerrier. Il est vrai que les princes guerriers celtes furent apparemment inhumés sur leur char avec tous leur biens dont les vêtements, parures armes, etc. Par contre, d'après les recherches et le témoignage des archéologues, ils ne furent pas incinérés avec leurs épouses et serviteurs, comme il en était pour les Scythes, mais enterrés dans une tombe recouverte d'un tumulus, éventuellement surmontée d'une statue. C'est en 1872 que le médecin Jind ich Wankel, amateur en spéléologie et archéologie, découvrit dans la grotte du Rocher du taureau le lieu d'incinération païen recouvert d'une forte couche de bois carbonisé. Ses recherches l'amenèrent à détecter les restes d'un char à quatre roues ainsi que des os humains carbonisés. A proximité du lieu d'incinération il découvrit des dalles et un autel sur lequel se trouvaient justement des mains tranchées ornées de bagues et de bracelets. Autour de l'autel gisaient des squelettes portant les signes de violence, des bras et des jambes tranchées. D'après lui il s'agissait de femmes, dont, parmi elles des jeunes filles âgées de douze ou treize ans. Cinq corps d'hommes furent identifiés. Comme il trouva également des objets de sacrifices, il en déduisit qu'il s'agissait probablement d'un rituel sanglant lié à la mort d'un prince guerrier celte. Jind ich Wankel vendit toute la collection des objets découverts dans la grotte au Musée de Vienne. Cent ans plus tard, le docteur Nekvasil étudia à nouveau tous les objets avec de nouvelles technologies. Mais on ne retrouva plus les squelettes avec les signes de violence, ni la dépouille mortelle du prince guerrier ni la preuve d'une cérémonie funèbre. La seconde possibilité serait donc qu'un groupe de personnes inconnues se soit réfugié dans la grotte. Ils auraient allumé un feu et comme l'aération était très mauvaise, l'accumulation des gaz de combustion aurait provoqué une explosion. Mais ce ne sont là que des suppositions car les squelettes, les restes des corps humains et la dépouille mortelle du prince guerrier n'ont jamais été retrouvés. La vérité reste donc toujours un mystère insoluble.
A suivre


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