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Criminels de légende : Tueurs en série
L?étrangleur de Boston (14e partie)
Publié dans Info Soir le 16 - 12 - 2004

Résumé de la 13e partie Le célèbre psychiatre James Brussels pensait qu?il n?existait qu?un seul et même tueur. Selon lui, l?étrangleur était un schizophrène paranoïde.
«Etant donné que le supplice du garrot est en faveur dans l?Europe méridionale, l?étrangleur peut être d?origine italienne ou espagnole. Je ne pense pas qu?il soit marié.
A mon avis, Mary Sullivan a été sa dernière victime. D?une certaine manière, il s?est ??guéri?? de ses difficultés sexuelles les plus évidentes, mais pas de ses autres problèmes émotionnels. A partir de maintenant, il trouvera une satisfaction sexuelle avec des femmes conscientes, de façon plus ou moins normale...».
Le comité accueillit froidement l?opinion du Dr Brussels et émit les plus grandes réservent sur ses déductions. Quelques mois plus tard, les experts allaient tomber de haut car les déclarations du Dr Brussels allaient se révéler digne de la divination.
La police était découragée et pensait avoir peu de chances de jamais trouver l?étrangleur. Un seul soulagement notable : il n?y avait plus eu aucun meurtre de l?étrangleur depuis un moment. Les enquêteurs continuaient d?interroger des suspects, des agresseurs sexuels pour la plupart, avec l?espoir d?arrêter l?étrangleur avant qu?il ne recommence.
En mars 1964 commença une série d?agressions et de viols dans le Massachusetts, le Connecticut, le New Hampshire et Rhode Island. 25 plaintes furent déposées en moins de huit mois, mais l?agresseur fit certainement bien plus de victimes. Il était surnommé L?homme en vert car il portait des vêtements de travail de cette couleur et se présentait comme un ouvrier chargé d?effectuer des réparations. Propre et très poli, il s?excusait souvent de ses actes auprès de ses victimes et s?en allait même parfois sans les toucher. Plusieurs fois, il pénétra par effraction dans les appartements ou les maisons. Les victimes étaient souvent des femmes d?âge mûr, parfois attachées avec leurs bas ou leur combinaison. Toutes étaient menacées d?un couteau.
Le 2 novembre 1964, presque trois ans après avoir été libéré de prison, Albert de Salvo fut de nouveau arrêté. Cette fois, il fut inculpé d?un crime bien plus sérieux qu?un cambriolage ou un «mesurage».
Le 27 octobre de la même année, il était entré dans l?habitation d?une jeune femme mariée depuis peu, après que son époux eut quitté l?appartement pour aller travailler. Elle faisait la grasse matinée dans son lit et avait été réveillée par la présence d?un homme dans sa chambre. Il avait sorti un couteau et lui avait dit : «Ne fais aucun bruit ou je te tue.» Il lui avait enfoncé la culotte dans la bouche et l?avait attachée sur son lit avec le pyjama de son mari, les jambes écartées. Il l?avait embrassée et caressée, puis lui avait demandé comment sortir de chez elle. «Tu vas rester silencieuse pendant 10 minutes.» Finalement, il lui avait présenté ses excuses et était parti. (à suivre...)


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