«Il s?agit d?une vingtaine de fonctionnaires de Sonatrach, de Naftal et de Naftec. Ce ne sont pas tous des cadres. Les mis en cause travaillent toujours, mais ne peuvent pas prendre de décision», a répondu à la question des journalistes, hier, à l?hôtel Sheraton, à Alger, le ministre de l?Energie et des Mines, Chakib Khelil, en marge de la double signature de contrat par Sonelgaz, dans le cadre de l?extension du Bureau central de conduite (BCC) d?Alger. Le ministre a noté que c?est à l?issue de deux années d?investigation que cette décision a été prise à l?encontre de ces personnes et ce, en attendant que «la justice tranche», a-t-il dit sans aucune autre explication.