«L'Algérie vivra entre 2005 et 2009 une phase complémentaire et particulière d'opportunités pour réussir son décollage économique réel et un développement humain consolidé avec un taux de chômage se rapprochant des 10 %, soit un taux connu par les pays développés.» C?est ce qu?a déclaré le Chef du gouvernement, Ahmed Ouyahia, dans une conférence de presse organisée en mars 2005. Passant en revue les résultats de 2004 en matière d'équilibres macroéconomiques, de développement humain, de développement des infrastructures et de création d'emplois, le chef de l'Exécutif a évalué le taux de croissance économique en 2004 à «un minimum de 5,2 %» contre 6,8 % en 2003, ce qui est conforme aux prévisions du gouvernement qui table sur une croissance minimale de 5% par an jusqu'en 2009.